Proposer une consommation plus responsable (Clémence CORNET de Bocage Groupe Eram présente des pistes pour proposer une consommation plus responsable)

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bonjour à tous nous proposons de continuer cette matinée avec des témoignages on se rend
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bien compte que les enjeux rse impact et bouscule les modèles entreprises on va continuer à échanger et voir que c’est
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vrai également dans la mode l’industrie de la mode est aujourd’hui la deuxième activité la plus polluantes
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au monde avec un rythme de relever doublement des produits qui s’est accéléré puisque nous achetons deux fois
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plus de vêtements qu’il y a 20 ans et nous les gardons deux fois moins longtemps je m’appelle marion de rouge dirige l’
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agence de communication corporate by side partenaires de cette deuxième édition est membre de dirigeant
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responsable de l’ouest je vous invite aussi à suivre des chantiers qui vont être lancés via des héros je suis
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heureuse d’animer cette conférence avec clermont clément ce corner vous êtes directrice marketing de l’atelier bocage
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du groupe eram alors l’atelier bocage c’est un chiffre d’affaires de 55 millions d’euros
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avec 350 salariés et un réseau de 120 boutiques le groupe eram s’est engagée dans une
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démarche globale et reste 100 chevaux goethe il ya quelques il ya quelques années
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maintenant ça commence vraiment et puis à une volonté de relocalisation aussi
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sur le siège à saint pierre montlimart en maine et loire vous avez depuis peu des bureaux sur
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l’île de nantes et puis nous comptons également christophe gotland vous êtes vous conseil en développement durable et rse
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et vous accompagnez vos travaillé notamment pour l’afnor et les artisans du changement
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alors avant de commencer un point important pour vous permettre de poser des questions pendant tout au long de
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l’atelier on va échanger pendant une demi-heure d’abord avec clémence et puis
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avec le regard expert de christophe pendant tout cet atelier vous pouvez poser vos questions au fil de l’eau sur
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internet pour ça vous n’avez pas besoin de télécharger une appli vous avez juste à vous connecter sur evans point fr et
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valls vais à elle est ce point fr vous arriverez alors sur un écran qui va vous
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demander un code ce code vous l’avez csc 19 comme sochaux
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le challenge et ses 19 et là vous allez pouvoir poser vos questions et en toute fin de séquence
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nous allons pouvoir traiter et répondre à ses questions d’accord vous voulez poser de façon
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anonyme donc n’hésitez pas ça permettra vraiment de voilà d’échanger sur et d’avoir des retours c’est de votre part
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sur ces questions propose de commenc clément ça avec la génèse du projet que
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vous allez nous présenter comment l’évolution la transformation de bocage de son modèle séné comment et pour
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répondre à quelles attentes clients et notamment donc bonjour à tous donc je
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suis clémence corday pour les derniers arrivant je suis la directrice marketing de la marque bocage qui est une marque
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du groupe eram un groupe assez important un gros employeur de la région qui fait
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partie des derniers des mohicans est encore des fabricants à fabriquer encore en france et à être une
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entreprise encore 100% familiales donc ça je tiens à le dire et donc ça fait plus de 15 ans que je
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suis dans le groupe et j’ai évolué à différents postes puisqu’il ya aussi gémeaux qui est un des unes des marques
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du groupe donc j’ai démarré chez moi je suis passé chez eram et donc ça fait maintenant presque huit ans que j’ai
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rejoint le directeur général de bocage pour travailler sur le repositionnement
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de la marque que l’on a fait renaître ces dernières années puisque c’était une
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marque qui aille à 6 ans était quand même plutôt en déclin on est sur un marché compliqué de la chaussure qui à
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la vraie nécessité de se repenser comme tous les acteurs de la mode aujourd’hui
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et du riz thaï plus généralement et nous avons donc pris ce virage il y a
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maintenant deux ans où nous avons vraiment repenser comment est ce que
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nous pourrions répondre à ces nouveaux défis que qui était déjà le premier qui
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est qui nous a alertés et elle a des consommations qu’on a pu constater déjà depuis deux ans avec vraiment une
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évolution des consommatrices et des consommateurs qui en avait marre de la
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fast fashion qui avait des vraies attentes et des vrais mutation de
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consommation elle attendait des marques de nouvelles choses démarrent qui s’engage qui leur soient utiles et avec
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une vrai ras-le-bol de la fast fashion donc c’était déjà un des premiers
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constats qui nous a fait nous réveiller davantage et essayer de repenser à un nouveau modèle la deuxième chose c’est
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que les clientes ne commence maintenant à savoir que la mode est la deuxième
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industrie la plus polluantes au monde derrière le pétrole ce qu’ils étaient à peine le cas il ya deux ans mais qui
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maintenant est une réalité est vraiment fait partie des préoccupations des consommatrices au quotidien qui n’ont
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plus envie de consommer de la même manière donc ça c’était une deuxième chose la baisse des ventes
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et puis cette nécessité de trouver une
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alternative de consommation qui donc répondre à tous ces défis de comment proposer une alternative qui permette à
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nos consommatrices de continuer à jouer avec la mode puisque c’était vraiment une de nos c’est une de nos missions
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premières et c’est ce pourquoi la marc beaucage a toujours existé c’est de
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pouvoir offrir du plaisir pouvoir se faire plaisir en voilà en jouant avec la
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mode en se sentant belle mais voilà avec cette ambition de mieux consommer est
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tout en proposant un modèle rentable de façon plus responsable puisque cet
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atelier effectivement né sur la consommation plus responsable donc on peut encore se faire plaisir et s’offrir une paire de chaussures mais avec
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effectivement un impact qui moindre c’était c’était tout l’enjeu de la réflexion avec en parallèle une autre
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motivation de départ puisqu’on a été financée en partie par l’ademe qui nous
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a demandé de réfléchir à comment rallonger la durée de vie des produits
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donc voilà tout ça a été un petit peu la jeunesse du de la réflexion il ya deux
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ans question questions existentielles question de réalité économique aussi parce que vous êtes sur un secteur qui est très concurrentiel il faut pouvoir
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aussi exister sur ce sur ce marché et donc prendre des risques est-ce que vous
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pouvez nous expliquer ce concept inédit je pense que j’imagine beaucoup d’entre
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nous en avons entendu parler parce qu’effectivement il y avait une nouveauté est-ce que vous pouvez nous expliquer ce nouveau modèle en quoi ça
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consiste quelle est cette transformation donc on a imaginé un nouveau modèle qui puisse à
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la fois générer de la croissance tout en permettant à nos clientes de continuer à s’amuser avec la mode et le tout sans
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surconsommer donc qu’est-ce qu’on a imaginé on a imaginé l’atelier bocage l’atelier bocage c’est quoi
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c’est un abonnement qui permet pour 34 euros par mois l’hiver et 29 euros par
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mois l’été d’avoir accès à la totalité de la collection de chaussures bocage et
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avec la possibilité donc d’avoir lusage d’une paire et non plus la possession en
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la renouvelant tous les deux mois cette paire est ensuite réinjectée dans notre
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en dans notre entrepôt où nous avons nos flux logistiques qui nous permette de la
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rapporter dans notre usine où nous sommes encore des fabricants et où nous produisons 30% de la collection bocage
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et les produire passe par sept par une étape de reconditionnement que nous
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avons breveté et qui permet de donner une seconde vie à nos produits ces produits sont ensuite proposés à la
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vente un tarif de moins 50% dans des corners dédiés que nous avons appelé comme neuve
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le premier a été ouvert à nantes il ya deux mois et nous ouvrons un nouveau
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corner à paris rue de rivoli début janvier bien sûr il y aura un site internet à
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suivre et donc on perd mais avec ce nouveau cycle de vie de produit de
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permettre à nos clientes de s’amuser avec la mode de continuer à se faire plaisir à être belle au quotidien mais
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tout en consommant mieux de manière plus durable avec quelque chose totalement
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inédit en france donc on a vraiment basculé de l’économie de vente a fait l’économie de fonctionnalité du haj ça
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c’est intéressant c’était une vraie prise de risque vous êtes parti je crois d’une feuille blanche le groupe vous a suivi dans ce
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dans cette prise de risque folle il est dit oui tout à fait on a la chance
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d’appartenir à un groupe qui est piloté dont parle entre autres le frère un des
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frères est le directeur général de blocage lui biotteau avec qui j’ai travaillé vraiment depuis le début du
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projet et qui a toujours 20 toujours en tout cas qui ya cru en cette nécessité de s’orienter vers
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quelque chose de beaucoup plus durable et de plus engagé il y as cru peut-être
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avons beaucoup d’acteurs du marché et il a pris ces risques on a la chance de s’appuyer sur un voile avec des rats un
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petit peu solides d’un groupe qui nous ont permis d’être d’aller assez rapide
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d’aller assez rapidement sur ce nouveau modèle vraiment une évolution du business model le marché aurait pu aussi
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ne pas être prêt donc je pense que le marché n’était pas prêt je pense que on
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a ce rôle en tant que marque d’être un petit peu voilà d’être un éducateur de d’aider nos
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clients à trouver des alternatives de consommation parce que on entend souvent
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que les clients ont envie d’autre chose mais il faut pouvoir leur proposer donc avec ce modèle on leur a proposé quelque
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chose ça ça n’était pas évident dès le départ ça m’a mis un petit peu de temps à démarrer
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et je pense qu’on est qu’au début et qui a encore beaucoup de beaucoup de belles choses à venir et vous avez dû être
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agile être en mouvement aussi à l’ecoute justement de vos clients pour faire évoluer le modèle un peu en marchant
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camp avec une évolution en termes de prix il ya plusieurs choses que vous nous avez tout à fait parce qu’il ya un
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an juste un an nous avons lancé une offre en expérimentation puisque
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aujourd’hui je vous dis qu’on a à 34 euros par mois l’hiver et 29 euros l’été mais lorsqu’on l’a lancé il y a un an la
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lancée dans six boutiques en expérimentation auprès d’à peine 50 clientes qui ont bien voulu s’abonner
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qui était plutôt réticente donc que c’était quand même une petite cible mais
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avec grâce à cette expérimentation on a énormément appris donc on avait démarré
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avec une offre qui était d avec un catalogue assez court avec une offre qui était 100% made in france
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donc les 30% de notre collection que l’on fabrique en france en pensant que ça allait être un vecteur supplémentaire
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d’attractivité on était à 39 euros parce que les le business plan qu’on avait
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construit nous permet même si c’était des projections voilà on avait démarré avec une 9 à 39 euros par mois sur donc
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30% de la collection et avec une offre 100% digitale puisqu’on est sur des
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notions sur des récurrences d’abonnement qui ne nous permettaient pas de directement en boutique pouvoir offrir
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ce service pour des raisons techniques entre autres de paiement et de récurrence d’achat on ne sait pas faire
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quand on emprunte ya pas de d’action vraiment de caisse
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voilà c’est des choses qu’on sait pas faire dans nos boutiques donc on était du c’ur du 100% digitale avec une offre
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à 39 euros une collection un petit peu courte et grâce à ses 50 clients dont on a énormément appris et on a pu lancer
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donc six mois plus tard sur la saison était là en avril 2019 on a pu élargir à 36 boutiques avec
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une offre qui avait été entièrement repensé donc à savoir en avait suite aux apprentissages et graves notamment une
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étude de lancia qui nous avait bien bien permis d’avancer sur ces sur la compréhension des attentes des clientes
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on a donc élargi à la totalité de la collection puisque c’était une vraie
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attente des clientèles voulait bien participer au projet mais elle avait une
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vraie attendre de choix avec une offre plus accessible qu’on a donc basculé à
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29 euros l’été et 34 l’hiver parce qu’on s’est rendu compte que la cliente était plus jeune c’est cette population de
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femmes qui sont qui ne sont pas dans la position qui sont plus dans l’ usage
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c’est vraiment une cible plus jeune qui ne consomment maintenant que comme ça c’est son
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quotidien et c’est comme ça qu’elle aime voilà qu’elle aime consommer gagner
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beaucoup plus en affinité avec ce mode de consommation là elle n’a pas pour
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autant un budget qui lui permet donc voilà on a baissé le le prix de l’offre et puis on a repensé
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également toute une partie des duos wording puisqu’on avait au départ annoncé aux clientes qu’on leur
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proposait de s’abonner à une nouvelle offre de chaussures avec le choix de la possibilité de changer
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tous les deux mois et en fait le l’abonnement dans tout ce qu’on a pu exprimer dans nos communications n’a pas
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du tout été bien perçu et à partir du moment où on a changé le wording vers louer vos chaussures n’achetez plus vos
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chaussures louer les tout de suite la compréhension du sujet a été complètement différente donc voilà c’est
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des choses qui nous ont permis de vraiment apprendre en marchant et je vous passe toutes les améliorations sur
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le parcours client sur la l’outil digital que nous avions
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développé où nous avons ajouté énormément de deux d’explication de vidéos explicatives sur que devient à
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pair qu’est ce qu’elle voit là on a eu besoin d’expliquer davantage puisque la cliente avait vraiment ce besoin là et
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enfin le dernier point presque le plus important c’est que nous avons pour
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embarquer toutes les équipes sur ce projet donner la possibilité à nos magasins de recruter de nouvelles
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abonnés en boutique et ça ça a été un accélérateur très important puisque voilà ça nous a permis
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de recruter la moitié de nos abonnés directement en boutique parce qu’une
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petite révolution quand même en interne notamment au niveau des concerts de vente en boutique qui on veut leur métier évoluer de façon un peu radical
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il pas que d’ailleurs est-ce que vous n’expliquez un petit peu les les impacts en interne et l’accompagnement qui a été
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fait au niveau des organisations donc effectivement il ya eu une vraie révolution au niveau
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des boutiques puisque on leur a demandé à nos conseillères de vente de passer de
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ce statut de conseillères de vente à conseillère en style donc on a développé tout un programme de
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formation puisque le principe même de ce nouveau modèle est basé sur le plaisir
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de pouvoir changer et de pouvoir être belle toute l’année mais justement en
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valorisant cette compétence qu’on ne conseillère en boutique en leur donnant
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ce rôle de huy de conseillère en style qui permet vraiment de donner du crédit
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à tout notre modèle et elles ont elles deviennent vraiment utile auprès nos
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clientes puisqu’elle leur donne des conseils en style les conseils en look avec quoi je le mets comment je le porte
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et c’était une vraie valeur ajoutée pour nous dans dans le concept donc on a on les a formés on continue de les former
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au quotidien pour qu’elle est vraiment cette crédibilité auprès de nos clientes et c’est une vraie valeur ajoutée un
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vrai atout donc ça c’était une des grosses évolutions sur le statut des
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conseillères et puis au niveau 2 de nos
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deux noms de nos usines à la manufacture on a dû vraiment aussi développer de
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nouvelles compétences sur cette partie reconditionnement donc un nouveau métier ce ne sont plus des fabricants mais pour
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une partie de l’activité qui peut-être sera une nouvelle activité à 100% prochainement mais pour le moment qui
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est au démarrage donc avec cette casquette de cordonnier de haute
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cordonnerie comme j’aime l’appeler et non plus de fabricants et au delà services informatiques services
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logistiques tout a été mis en mouvement exactement on y est encore tout n’est
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pas totalement totalement abouti il ya beaucoup d’évolutions de process métiers
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à mettre en place il ya beaucoup de choses qu’on fait manuellement on est obligé pour être agile de faire
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les choses de manière un petit peu de temporaire donc il ya des gros sujets qui sont
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digitaux qui sont logistique informatique et sur lesquels on
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travaille au quotidien avec une vraie envie et et c’est vrai que les premiers
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résultats de performances nous permettent d’avoir un vrai levier pour
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accélérer sur ces sujets alors le bilan c’est un projet qui a encore assez jeune
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mais un premier bilan on peut peut être dressé alors d’abord en termes de retombées retombées médiatiques enfin
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c’est un fillon je pense qu’on a tous entendu parler justement c’est fait vous
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avez été très sollicité par les médias oui alors quand on la lance et on a été un peu surpris des effectivement on a
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été sollicité par tous les toutes les chaînes de télé on a fait les la une de tous les journaux de locaux en tout cas
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et puis on a été présent dans beaucoup beaucoup de support
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c’est vrai qu’on s’attendait pas à ça ça a été une belle surprise et puis ce qui a vraiment vraiment accéléré
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c’était la diffusion de capital donc on a eu un reportage sur capital fin septembre qui avala cas en un mois nous
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a permis de doubler les abonnements puisque je ne les ai pas dit mais aujourd’hui on est à 1222 abonnés en un
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an enfin voilà sachant qu’on a démarré avec peu de magasins aujourd’hui on est prêts on propose le service dans cinquante
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boutiques en france sur notre réseau de 120 et c’est voilà c’est une croissance
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qui s’est extrêmement accéléré sur ces dernières semaines et c’est assez c’est
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au delà de nos espérances on ne pensait pas avoir de telles retombées médiatiques vous avez un petit
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peu évoqué aussi évolution aussi de la clientèle s’est élargie qui s’est un peu rajeuni oui tout à fait pour nous c’est
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vrai que ça répond à beaucoup d’attentes puisque on a rajeuni notre clientèle
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avec donc non seulement développé à notre clientèle parce qu’on a vraiment attirer une nouvelle clientèle plus
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jeune et qui vous permet de la fidéliser donc c’est vraiment un vrai atout pour pour la marque
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et puis l’outil industriel c’est qui qui s’est redynamisé donc que par un défi écologique économique qui qui pour
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l’instant monde des premières preuves positif quoi oui alors on a vu qu’on
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avance en marchant il ya beaucoup de choses que l’on découvre au fur et à mesure et notamment l’objectif qu’on
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s’était fixé sur cette première année était de d’avoir mille abonnés fin
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décembre donc on est déjà à 1222 je pense qu’on devrait être au moins 1500 abonnés d’ici fin décembre avec une
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projection qui était d’être à l’équilibré dc d’ici deux ans mais je pense que nous
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allons réussir à générer la croissance avant cela grâce à ce nouveau modèle donc c’est très bénéfique pour la marque
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merci clémence on va passer le relais à christophe qui va apporter son oeil
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expert et quelques questions ou focus complémentaires et puis après souvenez-vous éval point fr et c’est 19
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pour poser vos propres questions à clémence qui répondra en fin de séquence bonjour merci m’entendais bien oui merci
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bonjour à tous or on voit bien votre projet est super super intéressant super passionnant
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je vais axer mes questions sur les axes de la plateforme air et ce dès qu’ils touchent plutôt l’environnement et
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questions qui touchent plutôt le domaine social plutôt la gouvernance alors la gouvernance je vais pas trop revenir
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dessus il a fallu avoir le courage de se lancer dans ce projet sur l’aspect tu l’a
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évoqué rapidement économie de fonctionnalité et que l’économie circulaire éco conception
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j’ai l’impression il ya vous êtes rentré dedans
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dansez dansez dansez réflexion là de manière presque naturel mais si je me
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mets en position de puristes est ce que vous êtes allé au bout de vos réflexions aussi bien dans l’économie circulaire
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que dans l’économie de la fonctionnalité donc effectivement c’est une bonne question puisque on était un peu
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challenge et par l’ademe au départ qui nous a dit voilà comment on va rallonger la durée de vie de nos produits et au départ le ce qu’on a imaginé comme
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modèle c’était non seulement de pouvoir proposer une seconde vie comme vous l’avez compris mais surtout une 3e et
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une 4e voire une cinquième cd projets sur lesquels on travaille toujours auxquelles on croit on pense qu’on va
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réussir à lancer une nouvelle offre qui permettent de re louer des pères une
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seconde fois donc des pères déjà porté puisque aujourd’hui dans l’offre de base les paires louer sont tout neufs et
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ensuite on a pris le parti pour aller vite de vendre ses pairs mais dans un
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second dans une seconde étape on va on espère vraiment louer ses pairs déjà porté donc
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ça ça répondra davantage l’autre chose c’est que l’on veut aller jusqu’à la fin de vie des produits
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c’était aussi à nos engagements pouvoir grâce à 7,7 ce cercle vertueux de
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rapporter les pères de pouvoir justement en fin de vie lorsqu’elles n’étaient plus utilisables les récupérer pour
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aller jusqu’au recyclage du produit qui est forcément notre ambition finale et
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c’est compliqué je vous cache pas qu’il vous manque aujourd’hui aujourd’hui la chaussure elle est
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composée de on va dire 40 matériaux sur une même chaussure donc aujourd’hui il y avait dans le groupe eram on a une
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cellule r&d qui travaillent sur ces aspects recyclage et il ya une vraie réflexion de l’éco construction
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alors aussi de l’est contre conception pour pouvoir justement en amont penser les produits pour qu’ils soient des
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montes l’ap dément table puisque c’est vraiment le sujet c’est de réussir à des répartir les rôles et les pièces pour
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que les in eyes dans les bons sites les soient recyclés facilement mais
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aujourd’hui c’est compliqué ici personne n’y est allé en france parce que il ya personne dans voilà sur ces réseaux la
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sait que c’est compliqué et coûteux juste sur l’offre et que vous alliez
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peut-être lancer des nouveaux des nouvelles des nouvelles offres vous avez imaginé un peu comme enfin comme je vais prendre un exemple qui est
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bien connu c’est michelin qui vend des kilomètres parcourus vous avez imaginé vendre des chaussures à la distance parcourue ou à la durée
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d’utilisation en fait on pense enfin je viens quand on a travaillé sur nos notre modèle on
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s’est beaucoup inspiré de michelin et d’autres enfin voilà ccdh et c’est ça qui nous a amené à cette proposition
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d’offre on essaye d’accompagner nos clients avec une paire toute la rive
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alors on a effleuré le sujet de l’éco conception est ce que c’est des cons conception qui vous a amené à proposer
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cette offre ou est ce que c’est cette offre qui vous pousse à réfléchir à l’éco conception de
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vos produits l’éco conception c’est un sujet on sait tous qu’il faut qu’on améliore
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la fabrication de nos produits mais c’est un sujet sur lequel et c’est pourquoi on a pu aller vite sur cette
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nouvelle offre c’est qu’on a toujours été reconnu pour la qualité de nos chaussures che bocage on a vraiment un niveau de qualité assez
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qui nous permet de pouvoir offrir plusieurs vies au produit mais c’est vrai que le fait de récupérer dans nos
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usines les chaussures et de voir comment et l’usure au bout de moi nous permet de
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savoir où est-ce qu’on doit s’améliorer et travailler sur des matériaux travaillés sur l’obsolescence programmée
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à vos chaussures mais voilà de d’améliorer les équipements les matériaux et puis les
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écoutes concevoir de manière à ce qu’on puisse les démanteler facilement à la fin de la hausse du coût alors je vais
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changer de thématiques sur le jeu passait plutôt sur la thématique sociale rh
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on a parlé des nous avait parlé des conseillers en vente c’est la terminologie faire des rentes qui
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deviennent en fait il ya eu un plan de formation le on a construit tout de a à
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z en interne pour on a toutes les compétences puisqu’on a des stylistes on a des équipes de c’est aussi la force
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d’un groupe des équipes de deux formations et puis on a surtout des équipes investis qui croyaient au projet
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donc on a déroulé de manière assez rapide une formation à tout le réseau parce
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qu’on n’a pas exclu ce qui ne proposait pas l’offre on pense que c’est de toute façon un
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plus pour tout le monde et il est nécessaire que tout le monde sache bien conseillés nos clientes et puis
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connaître cette offre parce que pour elle c’est très nouveau donc il a fallu les convaincre je ne vous le cache pas
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on viendrait tout à l’heure sur la résistance au changement le sur l’évolution des métiers il ya aussi le
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métier de vin rouge avait appelé sa réparateur effectivement c’est des cordonniers des cordonniers industrielle du coup le
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c’est un nouveau métier qui apparaît à terme vous imaginer créer des nouveaux
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postes donc effectivement c’est alors c’est pas vraiment un nouveau métier parce que
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on a des chaînes de production et dans nos usines et en fin de chaîne il ya
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toujours des petits rebut des pères qui ont eu un petit défaut qui passe sur cette chaîne où il ya deux personnes
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aujourd’hui dans nos usines qui travaillent sur le sait notre atelier
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cordonnerie il s’appelle comme ça et donc c’est venir étoffer ses équipes là oui on va devoir recruter vu
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l’ampleur que prend le projet on va devoir recruter quelqu’un et le former
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parce que c’est des compétences qui aujourd’hui donc ces deux personnes qui sont des personnes mûres et sur lequel
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aujourd’hui on n’a personne d’autre qui a cette compétence donc on va devoir former et accompagner pour recrute chez
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un cordonnier l’année prochaine à un cordonnier mais c’est des métiers qui deviennent rares venus des écoles de cordonnerie oui nous on va les former en
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fait tout un interne du coup si ça marche très bien un jour vous pourrez créer une école de une
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école de formation alors on a déjà une école de formation dans le groupe eram parce qu’on a du mal à former sur ces métiers de fabricant de
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chaussures et du coup on a déjà une école de la chaussure d’un copain d’école de la chaussure le sur l’aspect
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territoire tout à l’heure j’ai dit c’est important on a notre usine le vous revendiquez le made in france même
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si vous n’avez que 30% je vais un peu provocateur pourquoi vous faites pas plus que 30% alors on y
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travaille puisque notre objectif c’est de passer à 50 fois je tombe bien le plein de bienveillance n’avait y avait trop laid on y travaille on a pour
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ambition de fabriquer 50 % de la collection en france mais il ya des savoir-faire qu’on a perdu en france on
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ne s’est pas malheureusement tout faire donc on va là où les savoir faire existe
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et notamment sur une grosse tendance du moment qui est par exemple pour ne citer que celui là le trait c’est c’est une
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compétence qui existent en inde et que l’on va chercher en inde voilà et puis bien sûr la majeure partie
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de ce que l’on ne fait pas en france on fait surtout en europe au portugal en italie en espagne qui sont baladés des
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endroits où il ya un vrai savoir faire sur la chaussure on parle de projets
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d’économie circulaire tout à l’heure en l’air on l’a déjà évoqué on a omis souvent en parallèle un projet
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d’économie circulaire et son territoire parce qu’on voit bien le déchet de l’un sert de produit à l’autre mais vous avez
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une présence nationale ca va au delà de du territoire on va dire pays de loire
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pays de la loire ou des départements dans lesquels les usines sont implantées comment vous gérez cette notion de
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territoire à la fois très très local là où il ya usines et le réseau boutiques français voire voire européen on est
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très français chez roccat j’en ai très français comment gères
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voilà on a un maillage territorial national et c’est une vraie force aussi
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parce que du coup on peut réussir réussir à satisfaire les clients de toutes les villes on n’est passé que mon temps je sais pas
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si ça répond à votre question mais et pour mobiliser les acteurs locaux et
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pousser les acteurs locaux et nationaux où et quand vous parlez d’acteurs le
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coup vous pensez pas du coup alors l’ademe s’est aussi nationale mais c’est aussi très local sur le financement des
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projets les régions les départements les communes en quelque chose vous avez
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encore non mais enfin si vous voulez c’est sûr qu’on a vraiment une réflexion nationale on ne peut pas rester
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je pense qu’on a une vraie implantation régionale et que le groupe
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eram fait énormément de choses localement mais au niveau de la marque bocage je pourrais pas vous dire qui ont
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fait plus que les autres localement ma dernière question c’est sur la conduite du changement vous avez eu beaucoup de résistance ou
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pas et puis quand même la question qui v qui va avec vous aviez une cellule dédiée une un
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petit groupe ou c’est vous êtes appuyé sur vraiment sur tous les services à la fois du devant du groupe eram et de
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votre structure alors on a la chance d’avoir pu s’appuyer sur tous les services niveau
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du groupe tous les services transverses que ce soit sur la logistique avec les flux existants de marchandises sur notre
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réseau de magasins avec tous les commerciaux voilà existant sur la partie
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des six informatique on a pu aussi s’appuie sur voila tous les services du groupe c’est vraiment la
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force d’un groupe et en même temps je ne vous cache pas qu’on a été confronté à beaucoup de freins dans tous les sens
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qu’on a levé petit à petit toute façon il n’y a qu’une chose qui réussirent à lever les crains c’est la performance
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donc les impôts de conviction oui mais ça suffit pas toujours et ils ont besoin
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de preuves et je les comprends j’avais beaucoup beaucoup de conviction j’en avais toujours beaucoup mais maintenant qu’ils ont des preuves c’est
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beaucoup plus facile merci merci clément sans merci à tous
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on vous propose de pas fait autant des questions alors vous savez et valls point fr s et
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19 et on va pouvoir prendre les premières les premières questions alors
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la première le modèle d’abonnement pousse-t-il ne pousse t-il pas à la surconsommation
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forcément je m’attendais à cette question c’est c’est une vraie question
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donc on vous imaginez que lorsqu’on a lancé l’offre et que l’ademe continue à
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nous suivre sur le projet c’était une vraie question de leur part donc on a été assez challenge et sur cette
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question là et donc on on a fait plusieurs questionnaires pour essayer de comprendre justement nos
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abonnés comment est ce qu’elle vivait cette expérience là et en fait on se rend compte que non seulement ça ne les
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fait pas surconsommer mais surtout ça leur fait mieux soigner elle apporte un
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vrai soin et à leurs chaussures au quotidien donc en fait elle allonge
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vraiment la dure elle nous aide à allonger la durée de vie de nos produits et puis il faut savoir que voilà le
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une cliente française en moyenne consomme 6 paires de chaussures par an bien là en fait avec notre modèle on lui
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permet d’avoir la possibilité en changeant tous les deux moi d’avoir super mais en consommant que trois
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paires donc notre ambition à terme sur le projet c’était vraiment d’aller vers
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moins de production moins de consommation pour moins de production c’est vraiment notre ambition à une
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autre question la chaussure peut-elle peut-être acheter si finalement la cliente ne souhaite plus seulement la
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louer oui bien sûr à l’issue des deux mois d’abonnement donc déjà la première
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chose c’est que la cliente peut se rétracter ce défunt voilà se désabonner très facilement
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et bien sûr elle a la possibilité de l’acheter si vraiment elle ne peut plus
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s’en séparer au tarif de moins 60 % du prix de vente de dollars
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je vous avais donc constater que votre cible et plus jeune
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avez-vous du coup fait évoluer le design de vos collections pour rajeunir la marque et peut-être changer de
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positionnement afin de répondre à leurs attentes en matière de style c’est une vraie question ouais c’est intéressant et marion qui me
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l’avait posée aussi je pense que on a une largeur d’offres qui nous permet de
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répondre à beaucoup de clientes et que en fait on n’a pas eu besoin de
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repenser le style de la marque on a une marque qui propose à la fois des
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essentiels et des bases de collection iconique et qui sont des fonds de rayons
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sur lesquels beaucoup de femmes sauvent peuvent se retrouver et en même temps on a toujours eu cette volonté d’apporter
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de la mode et des vrais capsule un petit peu plus waouh est un petit peu plus
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créatives donc aujourd’hui on n’a pas eu ce besoin je pense que notre
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positionnement nous permet de répondre à cette clientèle plus jeune une extension aux hommes étaient prévus
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une étude de marché sur les hommes at elle été réalisée alors oui on a réalisé
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des études sur les hommes mais ce qui est assez intéressant c’est que en fait chaud enfin c’est les études sont
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compliquées on n’est plus dans une démarche où en fait on va proposer des
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choses parce que quand on demande aux gens ce qu’ils veulent c’est pas si simple que ça ils ont du mal à se
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projeter c’est pas un reproche mais c’est que c’est difficile de se projeter et c’est plutôt l’expérimentation qui
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permet de savoir de valider si un modèle fonctionne et de le faire évoluer donc on est plutôt dans cette démarche à
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les études on en a des études sur le marché de l’homme on connaît ses attentes voilà c’est 30 % notre clientèle donc on
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les connaît aussi bien mais on est surtout sur effectivement une évolution une proposition de nouveaux services qui
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permettent de mieux consommer pour les hommes qui sera différent de l’atelier
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blocage parce que les hommes attendent des choses différentes ils attendent beaucoup moins de mode mais par contre
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ils attendent effectivement du confort de la durabilité de la réparabilité voilà donc ans
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on est en plein boum tchak en ce moment sur une nouvelle offre qui devrait voir
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le jour pour les hommes en fin d’année c’est un peu ambitieux mais début d’année 2009
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les sacs à main pourquoi ne pas ouvrir ce concept au sac à main est bien c’est
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une très bonne question et nous avons effectivement eu beaucoup de demandes donc il est fort probable que nous
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élargissions le catalogue de chaussures au sac pour pouvoir également avoir l’
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usage d’un sac et non plus la position avant de passer à cette question est ce
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que la succession d’offres comme ça vous risquez pas de vous perdre ou deux alors
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est ce que c’est la même dynamique je pense qu’on est tout à fait sur la même démarche de se dire je veux jouer
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avec la mode mais je veux consommer moins et mieux donc voila nous on répond aux attentes de nos consommatrices et on
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les aide à avoir des nouveaux leviers les produits sont-ils conçu différemment
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pour être réparé plus facilement donc oui je croyais avoir un petit peu répondu à ça mais c’est vrai que là on a
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vraiment des produits de qualité on est des fabricants avant tout on a une exigence de chausseurs qui est vraiment
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importante et du coup nos produits sont déjà conçu pour durer heureusement et donc pour être réparé
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plus facilement il ya effectivement des choses qu’on a mis qu’on est en train de mettre en place pour simplifier en fait
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le travail de reconditionnement plutôt dans un premier temps et puis à terme surtout de penser à les fabriquer de
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manière éco conçus pour mieux les démanteler derrière donc oui on y travaille le reconditionnement ne
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rend-il pas l’impact environnemental de la chaussure plus élevé si vous avez des chiffres alors là le reconditionnement
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d’une chaussure n’a à zéro impact environnemental enfin j’ai
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un peu ambitieux peut-être que quelqu’un vienne est vraiment vérifié on a peut-être un petit peu ne serait-ce qu’au niveau des flux de
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marchandises mais c’est des fûts qui existe déjà mais en tout cas au niveau de la réparation de des étapes que nous
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faisons sur les produits si c’est le sens de la question ont fait de ligier nisation donc on sait un système d’ozone
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ification donc qui n’est pas polluant et ensuite on repasse par les étapes de fabrication de la chaussure sur nos
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chaînes donc on les remet en forme en les passant par des niveaux de température qui voilà qui réchauffe la
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chaussure pour lui redonner sa forme et ensuite la mettre dans du froid donc en tout cas en terme de
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je n’ai pas de chiffres précis mais l’impact me semble assez faible sur la
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logistique parce que ça pourrait être un des impacts les plus importants là se sont intégrés dans le flux le faire
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autour et dans l’eure exactement on a rien à ajouter comme flux pour essayer vraiment de minimiser ses coûts enfin
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ses impacts au minimum bocage est sur un
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secteur haut de gamme clientèle urbaine et v permettant cette initiative innovante quelles seraient les leviers pour rendre
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plus responsables la consommation de masse proposé par exemple par gémeaux au sein de groupes c’est une bonne question
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je pense que les équipes de gémo aimerait beaucoup que je vise les aider
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leur répondre si vous avez des leviers on est preneur je sais qu’ils y travaillent beaucoup
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c’est certain que sur des niveaux de gamme inférieure ce sujet-là de la
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location est plus compliqué la durée de vie est moins importante cependant il y
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à des leviers sur lesquels il travaille notamment sur la seconde main voilà ce
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qu’ils sont des vrais levier et sur lesquels je sais qu’il travaille ardemment et je sais qu’il ya quelqu’un dans la salle manquer sur le sujet vous
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échangez façon plus large avec les correspondants d’autres marques du bien sûr on a une communauté interne
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les poèmes joueurs woods quel on travaille tous ensemble bien évidemment
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aujourd’hui l’utilisation du cuir et controversés pensez vous pouvoir
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orienter sur des matériaux autres donc le cuir pour ceux qui ne savent pas
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c’est un déchet de de ce qui est de la
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viande animale effectivement donc c’est un déchet donc on nous récupérons des déchets cependant on est bien conscient
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qu’il ya une vague vegan qui nous pousse à penser qu’il faut essayer de trouver
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des alternatives de matériaux et on est tout à fait partisan pour autant aujourd’hui c’est quand même
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compliqué parce que quand on parle de vegan c’est du plastique c’est des
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matériaux synthétiques pour la plupart il ya quelques initiatives de pau
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d’ananas mais aujourd’hui sur de la
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chaussure qui demande une certaine résistance
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personne n’a réussi à trouver quelque chose de 100 % naturels qui permettent
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d’être à la fois esthétiques durer dans le temps donc on y travaille on a une cellule r&d notamment qui est assez
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qu’ils se comptent beaucoup sur le sujet mais c’est pas si évident que ça
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dernière question à et vous alors vous louez des choses si évidemment quelques
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questions derrière jaloux et chaussures super merci clémente non merci si vous souhaitez poursuivre
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les échanges c’est possible il ya une petite after on salit donc un tout petit
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peu plus loin en sortant sur votre gauche si vous avez d’autres questions si vos questions n’ont pas été montrées
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à l’écran n’hésitez pas voilà nous vous remercions [Musique]