Ne pas être hors sol (Magalie JOST, co-dirigeante de Nature et Aliments, partage la démarche d’entreprise engagée et accueillante)

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bonjour et bienvenue pour cette troisième édition de social chaîne si vous nous rejoignez je me présente je
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m’appelle fabien lévêque je suis directeur marketing et réseau du groupe dynamique c’est une scène régionale et
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j’ai le grand plaisir d’animer cette conférence autour donc de l’entreprise
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nature et aliments une entreprise plus que centenaire nantaise et qui fait la
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part belle à son engagement territoriales c’est un petit peu son leitmotiv rse pour cet atelier je reçois
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donc magali aujourd’hui qui est co dirigeante chez nature et aliments bonjour magali bien ainsi que donc
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christophe gatland qui sera notre expert est ce qui fait partie d’un pulsions rse qui est également un membre des artisans
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du changement bonjour christophe bonjour tout à fait et merci à tous les deux d’être présent donc on est parti pour à peu près 45
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minutes ensemble il y aura 20 minutes de témoignages de magali 10 15 minutes
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d’avis d’experts de christophe et puis derrière on gardera du temps pour répondre à vos questions n’hésitez pas à
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les poser via l’application ça marche très bien alors magali avant d’entrer
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dans le vif du sujet ce que tu peux nous dire deux trois mots sur ton entreprise son activité donc naturellement c’est
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une entreprise centenaire familiale nantaise et qui fait des produits
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agroalimentaires en poudre biologique donc on fait ces produits là avec une
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équipe de 20 personnes et on représente à peu près aujourd’hui 6 millions d’euros de chiffre d’affaires d’accor si
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on est basée à rezé maintenant d’accord en préparant la cette intervention et
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durant nous échangeons c’est vite dit que naturellement était très particulièrement une entreprise
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accueillante et à plusieurs titres pourquoi on s’est dit ça alors on s’est dit ça parce que c’est une entreprise
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accueillante surplus pour plusieurs publics on va dire le premier public ça j’allais dire que
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un public avec lequel on travaille depuis maintenant plus de 40 ans qui sont les travailleurs handicapés donc on
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a accueilli au sein de dandy de notre équipe aujourd’hui quatre travailleurs handicapés de lézat
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du landas ce pour une partie de notre process on est aussi l entreprise à
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accueillante dans le sens où on intègre beaucoup de jeunes en entreprise soit pour des stages de 3e aussi pour des
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stages découverte du métier opérateurs de lignes ou commerciales et différents
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corps de métiers d’entreprise accueillante aussi parce que quand on a construit l’usiné on a fait en sorte
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d’avoir un couloir de visite de telle façon à accueillir les consommateurs notamment pour leur montrer comment et
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effet les produits qu’ils mangeaient c’était une par souci aussi de transparence et je finirai pas
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accueillante parce que on est souvent sollicité que ce soit par des réseaux professionnels des écoles aussi pour
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faire visiter l’entreprise agroalimentaire soit pour découvrir l’agroalimentaire soit aussi pour
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découvrir la démarche rse qu’on a mis en place d’accords donc ça prend tout son sens on va maintenant s’intéresser à au
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coeur même du sujet du jour qui est l’ancrage territorial c’est quelque chose qui fait partie de votre histoire
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de votre adn est ce que tu peux nous dresser un panorama des principales actions que vous avez mises en place en
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la matière alors souvent quand on parle d’agroalimentaire donc d’alimentaire tout de suite on à faire le lien avec le
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territoire origine des matières premières alors pour notre part nous nos matières premières ce sont des poudres
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donc des poudres de légumes des poudres de fruits aussi mais aussi des des
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algues du lait mais c’est pas forcément des matières qu’on va faire trouvait
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toujours en france nos deux principales matières c’est le sucre et le cacao le sucre de canne d’ailleurs donc pour
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l’ancrage territorial nous on va le travailler autrement et notamment par notre implication sur le
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territoire soit en termes de mécénat on tient fortement à travailler enfin en
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tout cas soutenir des associations 1 en thèse ou des pays de la loire donc ça fait plus de vingt ans
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maintenant qu’on soutient bolivia inti dans ses projets de cuisson solaire maintenant depuis trois ans travaille
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avec au départ est quoi ce qui est une association nantaise qui travaille sur
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tout ce qui va être réduction des déchets mais surtout aussi écologie est une nouvelle association du citoyen de
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rezé la ville dans laquelle on est pour mettre en place un jardin partagé créer du lien autour du jardin et de
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l’agriculture biologique apprend votre on va aussi soutenir des projets d’implantation de fermes biologiques en
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pays de la loire et on est aussi ancrée dans le territoire dans le sens où on veut faire bouger les lignes du
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développement de l’agriculture biologique dans notre région donc on est investi dans l’interview qui les
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interprofessions régionales et de l’agriculture biologique donc c’est vrai qu’on n’est pas par nos
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matières mais on l’est par notre militantisme et aussi parce qu’on fait aussi le choix d’avoir des fournisseurs
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par exemple sur les cartons qui est en pays de la loire et qui notamment aussi engagé sur une démarche rse d’accord
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donc on voit bien un ancrage territorial protéiforme finalement qui se fait très
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bien alors tout ça c’est formidable et bravo pour votre engagement la question que peuvent se poser les
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personnes qui nous suivent c’est mais comment on fait pour mettre en place toutes ces choses là sachant que ça donc on n’est pas sur
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votre coeur de métier forcément à la base donc tu a souhaité nous partager de bonnes pratiques la première c’est
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ben a accepté d’investir sans forcément avoir de héros immédiat c’est ça oui
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alors enfin souvent on va dire dans une démarche rse
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il ya une partie par rapport à l’environnement d’économie économies d’énergie nous on a fait le choix par
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exemple de travailler avec enercoop donc de la loire bien sûr
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enfin en tout cas l’antenne pays de la loire est clairement c’est pas un investissement pour lequel on a cherché
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à moins consommer en termes budgétaires puisque on est à + 30 % de factures par
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contre on sait que les produits qui sont fabriqués chez nous le son avec une énergie 100% verte et 100% française
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donc l’investissement c’est j’allais dire plutôt de se dire quel est le sens
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que je veux donner à mon action et nous notre action en tant qu’entreprise bio c’est diminuer notre impact sur
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l’environnement ou consommer des énergies qui sont faites de façon à conserver l’environnement est clairement
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les énergies vertes sont des énergies qui ne peuvent que convenir à notre démarche pour autant ça nous coûte
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beaucoup plus cher et enfin on a aussi construit un outil de production qui est un outil éco-conçus qui et quand on a construit
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en 2011 on a suivi la démarche haute qualité environnementale l’objectif n’était pas la certification et la démarche et ce bâtiment agroalimentaire
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est revenu à 25% de plus sans coût qu’un bâtiment classique agroalimentaire par
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contre il est beaucoup plus lumineux et il est il a été construit en fonction de la route du soleil pour éclairer au
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minimum les artisans ou les cours de métier qui intervenait avait toute une
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charte notamment de tri des déchets le respect de la faune et la flore
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endémique donc ça a été tout un choix qui correspondait vraiment à respecter
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l’environnement et diminuer notre impact mais avec un surcoût financier donc clairement oui c’est un investissement
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qui va dans le sens de nos valeurs d’accord donc on voit bien qu’on n’est pas sûr d investissement court termisme
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avec une rentabilité immédiate mais a plutôt une vision à moyen long terme tout à fait surtout quand l’entreprise a
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100 ans on s’inscrit encore pour cinq ans peut-être donc on va faire des choix qui
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rend peu d’impact sur l’environnement et sur la planète dans laquelle on est d’accord une autre bonne pratique que tu
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souhaitais partager c’était le fait de travailler en partenariat peut-être pour faire changer des
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habitudes de certains fournisseurs ça peut aller jusque là ça peut aller jusque là alors on a par exemple une
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matière première qui est aussi importante qui s’appelle de l’agar agar donc c’est une algue
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un rouge et à travers laquelle on va extraire l’agar agar qui est un gélifiant végétales et nous cette
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matière on utilise à peu près 15 tonnes à l’année d’agar agar et il nous dit il
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nous été livrés en fûts de 25 kg dans des fûts carton métal donc qui étaient
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impossibles à défaire parties métalliques et cartons et donc ça nous
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faisait des déchets énorme donc on a travaillé avec eux sur quelle solution pourrait mettre en place pour limiter tous ces déchets donc on est
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parti sur des des conditions de mon plus gros qui était en big bag en notre
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partenariat c’est un site internet donc on parle j’entendais les cons conception
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numérique est clairement non aujourd’hui c’est quelque chose auquel on fait attention et on a choisi un acteur local
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qui nous permet de partir sur site qui va être éco conçus donc bien moins
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consommateurs et qui en plus va répondre à nos besoins par rapport à une boutique en ligne mais une boutique en ligne qui
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consommera moins donc du coût qui sera aussi plus respectueuse de l’environnement
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d’accord alors il ya les bonnes pratiques il ya aussi de l’autre côté les écueils
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à éviter les difficultés que tu as pu rencontrer que vous rencontrez encore là au site a souhaité nous en partage et 3
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la première c’est de ne pas se perdre en chemin et notamment attention à la course aux labellisation aux
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certifications autour de la rse qu’est ce que tu voulais dire voilà ce que je voulais dire c’est que nous en 2013 on
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avait fait justement le choix de travailler notre démarche de responsabilité donc notre démarche rse
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est souvent enfin on utilise les outils et ses des
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référentiels et il faut toujours arriver à mesurer l’effort ou l’action que l’on
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porte donc on va mettre des indicateurs et la rse ça peut quand on va jusqu’à chercher
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un label engendré une course aux indicateurs et donc moi je dis toujours attention l’objectif c’est de chercher
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du sens et de limiter ses impacts et pas forcément de chercher à répondre à des indicateurs nous on l’a vu parce que sur
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différentes certifications on ne dira ah ben là vous pourriez mettre seul c’est un indicateur en place on va dire mais
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quoi c’est quoi le saint senoux ça nous parle pas effectivement ça peut être facile à mesurer mais quel est le sens
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pour nous donc ça c’est un écueil sur lequel il faut faire attention parce que des indicateurs au point trouvé énormément des indicateurs pas pertinent
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et des indicateurs qui vont faire qu’on va toujours courir pour l’améliorer d’accord un autre écueil c’est la
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fameuse notion du temps on est sur une démarche parallèle au coeur de métier
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généralement de l’entreprise à son business donc tout à fait c’est à dire là dessus surtout nous on est une petite équipe 1
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on est vingt personnes donc vingt personnes mais en équivalent temps plein et 16 donc quand on décide d’aller sur
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une démarche rse c’est une démarche dans laquelle il faut arriver de temps en temps se poser et réfléchir pour savoir
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quelle action va mettre en place la mettre en place et l’évaluer et si elle
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n’y arrive pas il faut en faire le bilan et essayer de la reconduire l’année d’après roues en tout cas d’en changer les modalités
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donc ça demande du temps et ça veut dire accepter notamment en tant que dirigeant que les équipes ne soient
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pas en productivité j’allais dire d’erchin dernière une machine mais puisse se poser et réfléchir ensemble
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pour arriver à me mettre en place des actions dont des projets donc oui c’est une démarche qui prend du temps et et on
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l’a bien vu durant cette période de crise l’agroalimentaire a été beaucoup sollicités et clairement nous on s’est
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concentré sur produire et de servir nos clients et on a vu que la démarche rse
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on n’a pas pu mener des actions qu’on avait prévu parce qu’on a pas réussi à se dégager ce temps là et que le métier
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a repris le le flot du quotidienne
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dernière difficulté tu parlais des équipes l’animation des équipes autour
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de ce sujet oui alors c’est vrai que il ya souvent soit on peut dédier un
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animateur et ce dans l’entreprise qui peut mobiliser les personnes nous on a
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fait le choix de ne pas avoir un animateur nommé mais d’impliquer tout le
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monde alors au départ on pense que c’est très vertueux donc tout le monde va y aller donc tout le monde n’a pas
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forcément envie de s’inscrire dans les démarches m ce qui est fait mais de là à en devenir acteur il n’y a pas à sauter
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tout le monde n’est pas prêt à le sautez donc il faut le prendre en considération et ensuite c’est 2
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de faire quand même devenir acteur les personnes et pour moi c’est la difficulté même si le dirigeant est
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convaincu si on n’a pas une équipe en tout cas des personnes dans l’est dans
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l’équipe 2 de l’entreprise qui sont dynamisés qui sont dynamiques sur vic sur certaines actions
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on n’arrivera pas à faire émerger les idées donc pour moi c’est une difficulté
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de savoir par où il faut est-ce qu’il faut imposer donc on a vu que ce n’était pas intéressant comment animer comment mettre en place
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donc mon à créer un groupe avec des salariés volontaires pour essayer justement de se pencher sur des
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questions et des projets mais ont rejoint la question de la vente des fois le temps fait qu’on n’arrive pas à
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réunir ce groupe est du coup en mettre en avant marche les actions par contre là où il faut être content et pousser
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c’est quand une action démarre et que les équipes se l’approprient ben alors ça veut dire que c’est gagné nos
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démarrage on avait ce qu’on avait une journée entreprises qu’on organisait qu’était une journée surprise ont
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confirmé l’entreprise et puis on partait quelque part au début c’est moi qui les organisées les 3 premières et ensuite
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les équipes m’ont demandé s’ils pouvaient le faire en prenant deux personnes volontaires et chaque année on
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leur leur alloue un budget il décide de ce qui est fait et c’est une belle marque de confiance c’est peut-être pas
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grand-chose on dirait comme ça mais pourtant c’est une journée à laquelle tout le monde maintenir et si on doit
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mettre les bouchées doubles pour finir quelque chose et faire cette journée tout le monde mettra la main à la pâte ou alors tu as déjà commencé à en parler
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mais tout ça évidemment ça vaut le coup qu’est-ce que tu en retire qu’est ce que l’entreprise en retire c’est quoi la
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valeur derrière la valeur je pense que c’est donner du sens on voit qu’aujourd’hui femme passe quand même du
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temps dans son entreprise ans et sept heures par jour donc quand on vient travailler il faut avoir du sens donc se
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dire je viens travailler dans une entreprise qui fait attention à son impact sur l’environnement qui se fait
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le choix de filières équitables pour pouvoir rémunérer justement les producteurs aient participé à lui
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développement dans des pays en voie de développement une entreprise qui est mécène sur son territoire qui embauche sur son
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territoire qui va développer l’agriculture biologique donc on se dit ben ouais j’ai envie d’aller travailler
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dans cette entreprise parce que elle a du sens et elle a du sens positif donc pour le changement de demain et je pense
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que donner du sens c’est un des objectifs d’une démarche rse donc pour moi ça peut embarquer tout le
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monde parce qu’on va tous dans le même sens très bien c’est un joli mot pour la conclusion merci magali je vais
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maintenant me tourner vers christophe christophe on parlait à la fin la d’animation d’equipe de sens de vision
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tout ça ça peut induire une notion un peu plus macro de gouvernance et je crois savoir que c’est un thème qui était cher tout à fait là alors envie
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d’aller travailler vous j’aurais bien envie d’aller travailler chaque fois mais il ya effectivement tu caches tu coches un certain nombre de cases sur
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sur sur des éléments importants pour donner du sens à une activité à une
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activité économique parce qu’on est bien dans une activité économique et se
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donner le sens alors avant de rentrer dans le dos naissance je voudrais faire une petite part à une petite parenthèse
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je trouve vraiment que le ce que vous avez fait la démarche que vous avez appliqué moi je rencontre beaucoup
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d’entreprises ont dit non mais alors ça c’est pop pour les pme un an mais nous on est trop petit on n’a pas de moyens
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on sait pas faire on sait pas par quel bout le prendre aussi main il ya cet élément aussi qu’il était important et
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pourtant chez vous le moi ce qui m’a frappé en premier c’est la conception du
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bâtiment la conception du bâtiment avec le couloir de visite c’est pour moi vous
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avez fait alors je vais essayer j’ai inventé un terme vous avez fait l’écho sociaux parties prenantes conception
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parce que le vraiment vous avez intégré ça dès le départ est ce que tu peux nous
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nous redire un peu le le enfin le comme on commence le vous êtes arrivé à vous
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dire il faut qu’on fasse un bâtiment qu’on puisse faire visiter
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à nos parties prenantes et puis après qu’on l’a dapta en particulier à
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l’handicap on l’a vu avec les personnes que vous utilisez là aussi on dit que c est que les grands groupes
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quatre personnes sur quatre personnes sur sur 20 on est loin des obligations
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légales et et des ah oui non mais c’est pas possible et sur des métiers physiques ce qui est
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souvent l’argument qu’on trouve en entreprise couloirs de visites en fait
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avant de déménager à arroser donc on était dans le coeur de nantes entre cancun mais lynette et
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en agriculture biologique depuis longtemps on fait ce qu’on appelle le printemps bio qui est un événement
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national auquel les entreprises sont conviés à ouvrir leurs portes pour faire
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visiter les bâtiments et faire connaître le métier est là où on était en centre
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ville on a on a on n’arrivait pas à avoir ses échanges avec le consommateur parce que le bâtiment n’était pas du
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tout adaptée et l’autre contrainte en agroalimentaire on n’aime pas trop faire entrer les gens dans les salles parce
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que quand même c’est des risques de contamination donc nous on s’est dit on veut continuer à accueillir du public
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donc dans notre nouveau bâtiment il faut que les gens puissent voir ce que l’on fit donc à la conception ça a été une
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des demandes d’avoir ce couloir de visite est suffisamment éclairé aussi pour qu’on puisse bien voir dans les
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machines arbre n’a pas tout réussi parce que souvent on fait tous le couloir et puis après on implante des machines et
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des fois les frais chesnais sont pas forcément bien implanté au niveau des fenêtres mais l’idée c’était vraiment
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d’accueillir et de continuer à accueillir le public a effectivement durant le printemps bio et aussi des
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écoles parce qu’on a un rôle de transmission et et leur donner envie de
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voir ce que ce que c’est qu’une machine de voir les différents postes c’est important pour nous donc on l’a on l’a
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mis j’allais dire dans le cahier des charges du bâtiment il fallait qu’on puisse avoir un accès aux différentes
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salles alors pas tout mais en tout cas les principales pour faire comprendre comment marche et de le process de
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fabrication et en même temps on voulait aussi accueillir les travailleurs
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handicapés dans l’ usine ce qu’on travaille avec les adulent andaz depuis longtemps mais on en voyait nos produits
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dans leurs ateliers et leurs produits revenez emballé comme il fallait chez nous donc c’était une première étape de
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pouvoir travailler dès peu un public différent mais la seconde étape pour nous c’était de les intégrer dans le
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illusion voilà et la dernière j’allais dire l’étape c’est en 2020 ou dans les
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quatre personnes travaillant handicapés une travailleurs une puisque c’est perdre et donc une dame a été embauchée
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fait partie maintenant de nos effectifs salariés de nature aliments le deuxième
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point sur lequel je voudrais rebondir c’est un terme que j’aime bien c’est l’alignement l’alignement de nos
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investissements avec nos valeurs et sachant que c’est très puissant par rapport à toujours au poids
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économique qui est donné dans le calcul sur investissement à ouimet fait une
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intervention dans une entreprise il ya deux jours on ramenait toujours tout à l’économie qui à l’économie qu’elle
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économique et l’économique et là c’est vraiment ce terme de 2
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d’investissement dans le sens des valeurs ces valeurs tu étais tu parlais avec les difficultés d’emmener tout le
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monde ces valeurs vous voulez vous la voulez construisez tous les jours avec les équipes c’est
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vous les avez identifiez vous elle vend l’est et j’allais dire elles sont
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générationnel même si je suis la pièce rapportée de la famille mais moi je suis
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pas un entrepreneur dans l’âme par contre quand j’ai accepté la reprise c’est parce qu’il y avait beaucoup de
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valeurs humaines porté par les générations qui se sont succédé la dernière qui était mon beau père
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et on a enfin voila moi je la culture de la différence et l’inclusion des
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personnes handicapées le l’implication sur le territoire c’était des valeurs
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qui existe et c’était des valeurs que j’avais envie de continuer à porter et comme mon associé sybille partage aussi
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puisqu’elle a accepté de devenir mon associé les équipes on les a je pense
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qu’elles y ont adhéré souvent en fait les effectifs s’est construit des jeunes
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qui arrivent en formation chez nous en alternance et à la fin de l’alternance quand on a proposé de rester ils sont
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restés parce qu’ ils ont grandi avec nous sur ces valeurs là et donc du coup on les a construit petit
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à petit une année on a fait 1 une construction des valeurs ce comment
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chacun voyait nature aliments vers huy voulait le voir aller ça ça date
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peut-être maintenant il ya huit ans l’effectif a encore évolué et donc là on va leur faire aussi pour être sûr qu’on
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est tous encore sur les mêmes valeurs donc les j’allais dire les valeurs il ya un fondamental
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mais il faut quand même toujours continué à le cultiver et peut-être justement en remettant un peu tout le
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monde autour d’une table et on rediscute 1 pour être sûr qu’on est tous sur les mêmes valeurs qu’on ait envie de porter
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et malgré le sens que vous donnez malgré le ralentissement bonnes pratiques vous
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avez vous avez quand même un turnover est ce qu’on avait des cultes et de recrutement art sur des postes wade des
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postes de conducteurs de ligne ou de peser ces des postes physiquement difficile sur lesquels on peut avoir du
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taux à 9 heures mais on a beaucoup de jeunes qui sont arrivés il ya dix ans en alternance et qui sont toujours là nos
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deux plus anciens sylvie va voir une trentaine d’années de maison valait à
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prendre sa retraite l’année prochaine donc on a voilà un petit hors 9h sur une
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équipe de 20 c’est si on a un départ ou deux tous les cinq six ans enfin voilà
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c’est pas non plus un tour 9h énorme mais je pense que les gens et je vois
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sur les derniers recrutements ou des lettres de motivation et cv qu’on reçoit beaucoup mettent en avant les valeurs de
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l’entreprise puisqu’il ya beaucoup de candidatures spontanées mais les jeunes ou les personnes qui souhaitent
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travailler ont besoin de sens et donc veulent aller dans les entreprises où il ya du sens et vos clients en ligne lala
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parce que le a parlé un petit peu d’économies qu’il faut pas trop mais bon c’est quand même le aussi le nerf de la
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guerre comment ils perçoivent tout toutes vos démarches alors aujourd’hui justement on est en train de dell d’interroger nos
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clients justement sur le las ce qu’ils attendent de nature aliments ce qui est
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sûr c’est qu’il ya souvent une jédir une différence entre ceux qui sont à l’achat
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vous demandez un prix et les présidentes qui se montre devant les
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caméras et qui disent voilà ce qu’on attend de nos fournisseurs parce que vous avez des grands enfin c’est dans vos clients vous avez la gms
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et oui alors et des gens qui ont bonne réputation ouais on a plutôt un public de clientes
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de magasins biologiques des grandes enseignes et c’est vrai que nous ce qu’on leur dit quand les notamment quand
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les négociations ne s’arrête qu’à un prix c’est de leur dire mais il faut
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falloir un moment donné que vous compreniez que nous ce que l’on gagne c’est pas pour vous le donner et arrondir vos marges mais c’est aussi
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pour pouvoir leur donner sur le territoire pour pouvoir leur donner sur des projets de développement pour
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construire ces fameuses filières équitables pour mettre en place des actions de pour maintenir la biodiversité dans nos entreprises ou
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auprès des associations que l’on soutient donc c’est toujours un équilibre subtil à trouver entre le sens
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vers lequel on veut aller et l’économique de telle façon aussi ce que les produits soient vendus à des prix
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accessibles pour les consommateurs alors je vais pas revenir sur la difficulté à impliquer tout le monde y compris dans
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une structure à 20 personnes ça va peut-être rassuré les responsables rse rh des grands groupes qui qui ce qui
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s’arrache les cheveux sur sur ce sujet d’implication des collaborateurs le
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l’élément aussi l’oeil sur sur l’investissement bon alors l’investissement qui donne du sens aux
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valeurs on l’a on qui va dans le sens des valeurs on l’a on l’a abordée il ya
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un élément sur la communication aussi que je l’aurais mais alors qui apparaît pas du tout dans les éléments qu’on a
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apporté jusqu’à présent c’est vous avez un rapport à je vais dire un rapport rse donc encore une fois une pme de 20
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personnes peut avoir un rapport à ceux il y avait un tuto enfin il y avait un atelier ce matin sur sur ce thème là et
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je voulais en faire mais je voulais le site et parce que non seulement vous faites un rapport rse vous
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le vous mettez aussi votre contribution aux objectifs du développement durable aux aux délais donc c c’est même pour
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moi c’était presque un truc de enfin international de grands groupes faciles à décliner dans une grosse structure
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mais dans une pme vous avez rifi et du coup vraiment sûr sur votre rapport rse je trouve que ça donne tout son sens
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d’avoir c’est vos engagements qui sont alignés avec votre sens à vous mais
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aussi avec les objectifs développement durable et une politique rse classique d’entreprise donc cette volonté de faire le rapport
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rse est à vous est venu comment parce que c’est pas ça c’est pas spontanée pour les pme on l’a mis en place dès la
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première année nous fait la démarche rse on ya travaillé en 2013 quand la région pays de la loire a souhaité
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mettre en place un outil d’auto-évaluation assez simple et on s’était dit si on commence il faut
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essayer d’aller jusqu’au bout donc on a fait notre diagnostic le plein d’action
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et on s’est dit il faut qu’on ne transmettent tout ça dans un outil pour
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le communiqué donc leur abandon nous est venue à ce moment là donc dès le démarrage on l’a fait par contre alors 6
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cd c’est pas du tout normes et un non on fait ça trois vertèbres pertinence ou
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tel objectif c’est de dire qu’est ce qu’on a fait durant l’année et l’appareil on est aussi dans une
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question de d’impliquer les gens donc il ya à paris à deux ans on a commencé à faire
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témoigner les personnes sur les actions que l’on mettait en place pour avoir leur avis en tout cas dans les équipes
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et je pense qu’au fur et à mesure on va s’ouvrir aux parties prenantes ce qui est bien dans la rse c’est qu’on
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peut y aller petit à petit et plus on bénir dernière et ce plus haut on prend
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ou en tout cas on arrive à cancel formaliser les concepts parties prenantes il ya trois ans pour nous c’est un peu
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compliqué on voyait pas trop ce qu’il y avait derrière et au fur à mesure qu’on est dedans on commence à vous avez fait
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votre cartographie des parties prenantes ouais alors on a un outil qui est un exercice rse oui bienvenue de tous les
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experts est alors en fait au départ on l’a fait parce que c’était une obligation d’une d’heures à faire d’eux
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des référentiels que l’on ne sait pas référentiels et raciaux c’est un référentiel de filières équitables et on
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l’a fait par obligation donc voilà mal fait ça c’est sûr que lorsque l’affectation et la petit à petit là on
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est dans une démarche aujourd’hui parce qu’on a un actionnariat familial est très humaniste donc avec lequel on veut
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aller dans jusqu’à obtenir le statut d’entreprise admission et
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le cabinet qui nous accompagnent nous a dit on va faire intervenir les parties prenantes et je vous dis oui quand même
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c’est important de pouvoir bien les identifier et savoir lesquelles elles sont au delà des quelques colons peut
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voir facilement les clients les salariés des actionnaires mais il ya bien d’autres parties prenantes
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donc c’est un exercice qui est pas facile mais qui est faisable alors seul plus ou plutôt à compagnie sion veut
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bien le faire surtout que là votre notion de territoire il ya le territoire local entre guillemets et puis vous avez
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aussi l’approvisionnement de vos matières premières dont vous nous parliez qui est pas qui sort de nos 50 km autour de la ville
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tout autour de nantes en a oui parce que notre sucre vient d’une filière équitable au paraguay le cacao vient
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d’une filière équitable en république dominicaine donc oui on dépasse largement nos frontières et c’est pas
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toujours aussi facile à faire comprendre aux équipes donc la ligue dernir mon associé et allez donc au paraguay et y
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est allé avec le responsable de production pour qu’ils voient aussi qu’est ce qu’il y avait derrière le mot
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équitable donc toute la partie développement puisqu’il ya une prime au développement qui est versé aux
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producteurs pour mener des projets soient de sanitaires soient décolle donc
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c’était histoire d’aller voir vraiment jusqu’où aller la démarche vous êtes toujours les oppositions court
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terme long terme économique sens interne externe
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le et le lâcher prise aussi puisque vous avez dit maintenant il ya des projets
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qui sont qui sont gérés par par l’entreprise comment vous soignez verts
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ont fait monter en compétences les gens de telle façon à ce qu’on puisse
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délégué quoi eux à part et parce que ça rend quand même le travail est beaucoup plus intéressant
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de détracteurs plutôt que de le subir coin donc je pense que c’est ça aussi qui plaît
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aux équipes même si on reste quand même une entreprise un peu avec management
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patriarcale certes une petite pme on est toujours démissionnaire à la fin mais on
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est ouvert donc les personnes vont venir noir avec des idées et on va faire prendre la
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décision par un collectif et puis non au final si on n’arrive pas décidé on prendra la décision finale mais là je ça
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me faisait rire parce que j’étais à manger avec les salariés et puis il voulait mettre des poules
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vas-y mais le projet et puis chacun va voter et j’ai dit mais j’ai dit moi je suis pas content mais qui s’en occupera
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par la fermeture qui le week-end on fait comment et puis ben la voilà ça amène à discuter puis le projet il ira lui-même
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l’hygiène y vivre métier on le met où oui mais on a eu ce genre des charges
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aussi sur les questions de rémunération aussi ou on avait mis en place une prime
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individuelle à la demande des équipes et où on nous dit oui mais vos indicateurs vos façons de mesurer ces du subjectif a
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dit écoutez pas de problème vous prenez le temps qu’il vous faut vous faites vous créer un groupe et vous nous sortez
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des indicateurs parce que nous on n’a pas su aller trouver et ben ça leur a permis de discuter puis de finalement de
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dire que c’était très compliqué que c’était possible facile de trouver le bon indicateur pertinent voilà mais ces
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vagues et cédé 10 des sujets là un sujet des rémunérations n’est jamais très simple à aborder dans des entreprises
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christophe si tu avais un mot de la fin mot de la fin en guise de conclusion
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moi j’aime bien le j’aime bien l’expression que du coup j’ai noté c’est investir dans le sens des valeurs
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on parle beaucoup de raisons d’être de société à mission alors même sans
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rentrer je me sens aller jusqu’à la société a mission donner le sens dans le sens global pour les collaborateurs
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c’est ouais c’est vraiment le la ligne directrice que que l’on doit ou peut
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avoir même si sans se mettre en grand moralisateur c’est vrai – investir dans le sens des valeurs
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je leur sortirait je pense que je l’utiliserai si tu me l’autorisé et c’est pas de déposer merci pour grave
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merci à tous les deux pour votre temps votre engagement on va passer aux questions alors j’en ai
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une première arrivée vous à mesurer quelle part de votre budget annuel est aujourd’hui consacré à la rse assez très
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bonne question parce que j’allais dire c’est aujourd’hui on l’a pas mesuré et
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[Musique] les changes notamment avec les actionnaires familiaux donc la famine ne
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travaille pas n’est pas actif dans l’entreprise donc ils nous ont demandé qu’est ce qui
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est mis sur le budget sur tel accès sur vos actions environnementales vos
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actions sociales et aujourd’hui moi je n’ai pas mesuré et c’est un axe d’amélioration justement que l’on veut
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faire ressortir que et pourquoi pas ce que ça rentre aussi dans le partage des bénéfices donc logique voilà le partage
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de la valeur donc on veut arriver à définir ce partage en termes d’actions
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citoyennes donc on a appelé ça notre part citoyennes de notre bénéfice et ça
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permettra une fois qu’on ne saurait arriver à définir comment la calcul
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de définir un budget est de pouvoir engager des actions j’allais dire nous quand on a fait un peu la définition de
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notre ère est ce on s’est dit on est on est pas encore une année plus qu’une rs
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de greenwashing de washington est dans l’action mais il faut qu’on soit encore plus démonstratif et le budget oui il
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faut qu’on les définit c’est un indicateur qui est très prisé dans les labels nom n’a pas encore mis en place
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un indicateur pertinent très président tout à fait et qui obligeait j’allais dire qu’il oblige on garde parce que
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voilà qui engage parce que m me l’euro 2000 euros sur six millions d’euros c’est pas hyper langage en annonçant les
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dacquois là donc ça va nous engager et on a envie d’aller vers ce chemin là d’accord mais aujourd’hui il existe il
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n’existe pas il ya un budget mais qui n’est pas matérialisées c’est peut-être pas la partie la plus simple fait car
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oui ça va être difficile parce que votre jerez elle est tellement intégrée dans votre quotidien que j’imagine pour vous
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ça va être difficile de dire si on n’avait pas cette démarche rse on n’aurait pas fait cet investissement
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c’est c’est super complexe à à déterminer puisque l’investissement dans
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le bâtiment vous l’avais dit c’était un choix réfléchi le choix des matières premières les
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l’électricité verte etc tout ça c’est intégré donc ouais mais il ya des ya des
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choix là vous voyez on va changer à tous nos aînés ont aujourd’hui on a des néo normaux on va passer à l’aide pour des
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économies c’est déjà une question s’était posée il ya trois ans et c’est un budget de 20 mille euros donc c’est
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pas un budget cadeau d’un mois on s’est dit bon beau il faut y aller fait on n’a pas le choix il faut qu’on y aille donc
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on une fois qu’on a mis l’électricité verte
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après derrière il faut faire d’autres actions les lionnes logique économique il ya une logique économique même si ça
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a coûte plus cher au moment là c’est aussi derrière deux de moins consommer bien sûr
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et ça correspond aussi à au chalet dire ça va encore plus appuyé
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le choix denner coop nom sur cette chanson tout à fait alors j’ai une deuxième question avez vous envisagé de travailler avec d’autres pme de
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l’agroalimentaire ou d’autres entreprises familiales pour initier de nouvelles actions rse alors oui elle en fait
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en pays de la loire on a un groupe d’entreprises bio ils sont adroits alimentaire mais surtout bio puisque
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j’allais dire je me définis ci fait plus comme une entreprise agriculture bio que l’agroalimentaire et
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ont travaillé ensemble sur différents sujets et le thème de la rse est un des sujets et notamment en amont teint dans
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ce panel d’entreprises ou veron trouvait des coteaux nantais par exemple qui sont impliqués notamment dans la chair rse et
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on a travaillé sur un cahier des charges pour différents matière par exemple les
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emballages pour des faits pour en fait proposer un marché de volume à différents partenaires dans lequel il ya
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des critères sur leur démarche rse et leurs actions et faire en sorte qu’elle
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soit locale et ensuite moi je suis adhérente au synabio qui est notre syndicat national cette fois ci au
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niveau échelle des entreprises agro alimentaires bio qui ont développé un label qui s’appelle entreprise
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entreprise bio entreprise durable donc c’est une certification vers laquelle nous on va aller sur 2021
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d’accord ok pour diminuer votre impact sur l’environnement avez-vous pensé à vous engager dans le fret à la voile
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pour l’import de vos matières premières alors j’aimerais bien j’ai des collègues saveurs et nature qui font venir leurs
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cacao à la voile nous aujourd’hui on n’y est pas encore
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on n’y est pas encore ce sera sûrement un axe sur lequel on va travailler on a des clients notamment
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le client biocoop kif j’ai interdit tous les transports aériens de matière donc ça nous pousse à choisir déjà le routier
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où le bateau mais à la voile on n’y est pas encore mais je pense que c’est des choses qu’il faut travailler
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d’accord je voudrais juste là le sur ce sujet là à la voile ça pourrait faire
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sourire quand on parle d’environnement dans beaucoup d’entreprises on n’est pas du tout à ce niveau
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d’action va être au niveau et koji est prise conscience
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enfin vendeuse assez basique et encore une fois la le une pme de 20 personnes
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history cela elle réfléchit vous réfléchissez à comment faire venir votre matières premières en cargo voile
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on pourrait faire un sondage il ya 1500 inscrits aujourd’hui je pense au social challenge moi je crois que j’ai jamais
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recommandé ça mes clients d’enlever sa compagne mans que j’ai pu faire j’avoue que ça m’a même pas effleuré
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donc on voit aussi de niveau 2 de faim de profondeur de vos réflexions sur sur
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les quais me tire en particulier environnementale mais parce que ça te fera une corde de plus à son arc ouais non mais je note je ne souhaite
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surtout nous on n’est pas loin de la mer c’est logique c’est cohérent alors des
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conseils pour démarrer une démarche rse dans une pme alors ben moi c’est le premier conseil
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c’est de faire son auto diagnostic parce qu’il faut savoir où on va être et c’est
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vrai que moi l’outil que j’ai utilisées et est très basique mais ça permettait d 2
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me positionner sur les actions environnementales sociétales territorial
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et économique et à partir de là c’est comme ça qu’on a commencé à définir des actions dans les différents volets pour
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pouvoir avancer sur cette démarche donc c’est pour moi la première la
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première étape et j’allais dire en même temps ces deux pourquoi pas et je pense
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que nous on l’a pas eue fait et je si j’avais à refaire je le referais comme ça ces deux
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pour pouvoir faire ce diagnostic c’est de créer un groupe avec les collaborateurs qui sont intéressés et
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démarrer ce diagnostic avec eux et pas le démarrer moi j’ai des jeux les faits seul j’avais porté la démarche mais je
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pense que ça aurait été plus constructif est en tout cas plus efficace si ç’avait été démarrés en groupe
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dans tous les cas il faut le l’énergie du dirigeant pour le lancer we fall et
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il faut les deux il faut l’énergie à la fois du dirigeant et des équipes parce que sinon même le dirigeant va se
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fatiguer les équipes sans le dirigeant voilà c’est ça il faut les deux tout à
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fait je voudrais compléter sa voix sur ce que tu ailles magali effectivement c’est tokyo de diagnostic il va
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permettre de d’établir un certain nombre de d’action et de prioriser mais ça va
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permettre aussi aux dirigeants et aux groupes qui fait ce travail de se rendre compte qu’il ya plein de choses dans
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l’entreprise ou désactive jamais jamais rien dans une entreprise un mode là souvent on entend des entreprises idoine en mai mois la rse je m’en suis pas
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encore occupés je suis nul en fait ça va rien dire parce que si l’entreprise elle
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existe elle a bien fait d action sociale a bien fait même si c’est pas toujours créer et développer des actions
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environnementales son territoire sa gouvernance c’est forcément des sujets qu’il aborde dans son fonctionnement
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quotidien et dans ses réflexions stratégiques donc faire un auto diagnostic aussi c’est un côté rassurant
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parce qu’on dit ah non mais alors le chant est très vaste de la grèce il est très vaste mais c’est pas que
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l’environnement mais du coup il rassure en disant ah oui non mais chez nous on fait ça alors peut-être qu’on fait pas tout à fait jusqu’au bout mais
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et comme ça le plan d’action il est quand même lit les bruits il ya beaucoup plus de sens bien à la notion de sens et
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de logique de cohérence par rapport à aux pratiques qui sont qui sont en place dans l’entreprise et surtout pas le
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faire par rapport à l’extérieur ça il faut le faire par rapport à soi bien sûr mais c’est tout à fait ça c’est à dire
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quand tout le monde en fait tout le monde fait des actions de rse mais c’est un concept qui au final conceptualise
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formalise des choses existantes et clairement d’avoir fait nous ce diagnostic aussi diables ont fait déjà
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ça on fait déjà à ses superbes finalement on fait déjà plein de choses une prise de conscience que voilà c’est
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une prise de conscience est par contre la difficulté c’est de parfum ou moins de courses et voilà et de passer
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s’asseoir sur ses lauriers donc et après c’est la recherche permanente de
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direction il faut pas croire qu’une petite action de ccc pour la peine toute action et bonnes affaires
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il ya aussi un effet boule de neige que moi j’ai remarqué c’est que plus on en fait plus ça donne envie d’en faire
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sinon on peut revenir en arrière tout à fait et et la rse alors souvent
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on dit c’est le rush monsieur jourdain je fais de la rn60 savoir j’ai pas besoin de faire plus la différence avec
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une démarche rse c’est que à les structurer et on sait ça donne du sens de la
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cohérence entre toutes les actions c’est et c’est pas que monsieur jourdain le faire d’ailleurs il se faut être plus
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que monsieur jourdain bien sûr mais c’est ce que vous avez fait et ça va jusqu’à orienter des choix dans les
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actions effectivement ou dans la sortie de certains produits voilà nous on défend des tracteurs sur
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les filières équitables quand on sort un produit s’il ya une des matières n est pas équitable c’est pas
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ça par contre c’est pas logique c’est pas cohérent donc non ça on ne peut pas sortir un produit comme ça parce qu’il
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ne va pas dans les valeurs que l’on que l’on est faux les lilas les indicateurs vont servir j’en ai conseillé les fameuses indicatif
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à la base identique voilà sinon c’est la pertinence d’un spectateur qui est très importante parce qu’on savait d’emilie
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alors j’ai une autre question revient sur les locaux pour la construction de votre nouvelle usine avez vous
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privilégié des entreprises également engagés dans des démarches de rse alors je pense qu’à l’époque ce n’était
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pas encore dans l’est on va dire oui sans forcément
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le savoir dans le sens où monsieur jourdain voilà parce qu’en fait on voulait un cabinet d’architectes qui a
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une capacité à nous accompagner sur la démarche haute qualité environnementale et tous les architectes n’ont pas cette
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capacité là mais on appelait ce pas ça une démarche rse à l’époque quoi donc
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j’allais dire au moment où on a construit c’est on était plutôt en
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recherche de compétences que deux que de valeur à ce moment là pour moi je
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pense à des artisans on voulait des artisans locaux par contre vous les
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critères jédir local c’est la région quoi quand même sortir du 44 mais en
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tout cas régionaux et c’était un des critères alors avez vous un responsable
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rse sinon envisagez vous de créer cette fonction peut être à temps partagé avec une autre pme de la région un test est peut-être quelqu’un qui recherche un
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poste alors c’est ce que tout à l’heure j’avais dit en fait souvent soit c’est le choix
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d’avoir un responsable rse justement soit nous on n’a pas fait ce choix là parce que mon pour moi la rse elle doit
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être portée par tout le monde donc j’ai pas envie qui est quelqu’un qui qui se sentent pas l’obligation mais
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qui se sentent le rôle où la compétence pour animer pour monter des veaux pour moi il faut que ce soit tout le monde
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donc moi j’ai fait ce choix que ce soit tout ce que tout le monde soit animateurs rse chez nous mais pas
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d’avoir un responsable rse après je pense que ça se les deux sont
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bons au point fait des deux façons de faire sont les bonnes ça va vraiment dépendre de du fonctionnement de la vie
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de l’entreprise mais quand il ya un animateur rse le la précaution à prendre c’est que le salon
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est un chef de projet parce que c’est pas lui qui doit faire parce que ça y est vous dit tout le monde se dit bah
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tiens maintenant on a un chef de projet rse enfin on a eu un responsable rse dès que
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un sujet va aborder dès qu’une question va être va être posée c’est pas moi c’est celle responsable rse et du coup
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là on commence à perdre la nature de la nature de démarches et l’implication collective que que vous avez mise en
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place donc et souvent cela il va être mis en casquette sous le responsable
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qualité parce qu’il est parce qu il a les indicateurs easy way les indicateurs souvent ça retombe sur
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la qualité et le système de management c’est laid c’est marrant ça et je le
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vois bien un autre sur les audits c’est notre responsable qualité qu’il est fait mais clairement sur la partie rse et
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c’est là où je vois qu’il ya là notre marge de progrès elle est aussi là c’est à dire g l et elle se sent pas capable
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de pouvoir assumer ces questions là donc je viens toujours un écho à ce moment là
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avec elle sur ces questions de rse votre couvert un objectif c’est de plus être là votre gouvernance est tellement
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impliqué de donc oui oui mais là je dois 6 mais il faut que j’arrive à dire bah
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non je ne veux pas prendre ce jour là tu fais quand même tonneau dit si je suis pas là tu dois être en capacité de
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répondre c’est pas normal que j’ai un venir d’accord on va s’en tenir là en
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tout cas je vous remercie beaucoup tous les deux pour votre temps votre investissement votre engagement évidemment merci à tous les gens qui
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nous ont suivis j’espère que ça a répondu à vos attentes vous avez passé un bon moment je veux qu’à vous souhaiter une bonne
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fin de salon puisqu’il reste un programme quand même assez dense de bonnes fêtes de fin d’année évidemment et puis je vous dit à l’année prochaine
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pour la quatrième édition de social challenge [Musique]