Comment embarquer ses salariés et franchir l’étape de l’entreprise à impact positif ?

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bonjour à tous et bienvenue dans ce nouveau cas d’école comme embarqué ses salariés et franchir l’étape de
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l’entreprise un impact positif je suis pascal guy forget je suis co fondatrice d’open landes et
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j’aurai le plaisir d’animer cette table ronde qui accueille marie gaborit directrice associée tuvalu l’homme jours
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kevin coulon cofondateur dengo should bonjour genre kevin et marion andro
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cofondatrice de l’agent smith haye bonjour bonjour alors aujourd’hui nous
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allons discuter et nous aurons également d’autres témoignages d’entreprises big up ou entreprises à mission cedreo
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et connecthings qui vont nous dire comment ils ont embarqué leurs salariés sur cette grande aventure de
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l’entreprise l’impact mais d’abord je souhaiterais que nos invités puissent présenter leur entreprise et quels sont
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leurs objectifs d’impact dans l’organisation qui le pilote marie peut-être est-ce que tu veux commencer avec plaisir alors tuvalu on est éditeur
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de logiciels et on est toujours et on s’est créé pour avoir un impact positif son organisation notre logiciel permet
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donc notre mission notre raison d’être parce que c’est ça comme ça qu’on se présente contre des entreprises à mission notre raison d’être est de
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permettre à tous les décisionnaires d’intégrer au coeur de leur stratégie leur impact leur stratégie climat et
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leur rsa donc voilà pour la mission est donc on a une équipe donc on existe depuis 2012
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une équipe de quinzaines salariés tous engagés pour notre mission donc donc ngô
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shoes créé en 2010 est par renault et moi donc marc nantaise de baskets équitables et solidaires avec groen ans
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connaît depuis depuis le lycée et puis les voyages nous ont amenés à créer notre entreprise le but de l’entreprise avant de parler
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de chaussures c’était de créer du sang c’était vraiment de ça donc dont on a eu besoin ronan a vécu plusieurs années au vietnam
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et donc c’est tout naturellement qu’on s’est lancé là bas l’idée c’est de travailler de manière éthique dans la
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production de chaussures est d’ailleurs maintenant de sacs à dos et au vietnam on travaille avec trois coopératives d’artisanat qui ont le savoir-faire
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traditionnels du tissage à la main ses tissages ces motifs ethniques on les retrouve sur nos baskets c’est ce
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qu’ils ont fait l’identité l’originalité et le but est de travailler avec elles de manière équitable pour les faire vivre de leur savoir faire et de le
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préserver on a un partenariat également est une ong qui s’appelle saoudienne et qui en reverse 2 % de notre chiffre d’affaires
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pour les aider à construire des écoles donc c’est eux qui sont en lien avec les autorités locales au vietnam pour
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définir les besoins en termes d’infrastructures donc on a construit quatre écoles avec eux depuis le début du projet en 2017
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et cette année on a lancé notre première collection de baskets fabriqué à partir de matières recyclées notamment
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bouteilles de place du plastique recyclé idem pour notre notre sac à dos convient
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de combien de sortir et là ça s’inscrit dans une logique environnementale de dans le but de réduire notre impact
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carbone via notre production est d’ailleurs pour ça on vient de commencer un bilan carbone avec tuvalu justement
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on est au tout début donc on n’a pas encore de chiffres etc mais je vois le but est d’avoir nouveau
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du recul sur tout ça pour pouvoir progresser sur sur de production de notre impact carbone super je vois que l’écosystème basson
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point c’est parfait marion oui lagence by side est une agence de communication
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à nantes qui compte 22 personnes si une agence à ses anciennes qui qui
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s’appelait alphacan moment de sa création et qui était une agence assez classique
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j’ai envie de dire donc le chemin vers l’ impact positif ici fait il se fait dans la durée
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et on est encore sur le sur le chemin on a repris nous moi j’étais salarié on a repris cette entreprise avec avec mon
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associé il ya une dizaine d’années avec la volonté de s’engager dans une démarche rse et puis aujourd’hui
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entreprises à mission donc avec la volonté d’une transformation plus plus
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importante et d’embarquer nos salariés on a fait et on s’est fait accompagner par tuvalu et pionnier et on les en
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remercie à la fois sur notre bilan carbone 2018 2019 mais aussi sur une une
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rien la redynamisation quelque part d’une démarche rse plus plus ambitieuse
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et en embarquant justement toute notre équipe très bien parce que je voudrais rester avec toi et te poser une question
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sur ce qu avant de devenir big up entreprises émission tu l’as dit c’est un chemin
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mais au début du chemin il ya souvent un déclic quelque chose qui fait qu’on a envie d’y
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aller qu’on passe de la prise de conscience à l’action quel a été pour toi d’abord ce déclic et commence assez
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retranscrit ensuite dans l’organisation comment vous avez commencé à vous mettre en chemin il y en a il y en a eu
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plusieurs et jusqu’au déclic ça va je pense que ce sont des inspirations il ya
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une dizaine d’années comme on a repris l’entreprise on connaissait l’entreprise ont été salariés on savait ce qu’on
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on avait des convictions on savait ce qu’on voulait plus ce qu’on avait envie de faire sans forcément savoir comment à
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cette époque là moi j’ai intégré et ça secret dirigeants responsables de l’ouest donc aux côtés de dirigeants
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aussi extrêmement inspirant qui était bien plus avancée que moi mais en tout cas ça a donné de la matière pour ça une
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grippe de son côté était est entré au cjd ce qui nous a permis aussi à nous
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d’apprendre le métier de dirigeant quand même c’est un peu ça mais en intégrant des valeurs qui nous étaient chers
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effectivement c’est l’accompagnement aussi enfin on mettait aux côtés de certains certains clients certaines entreprises qui étaient déjà engagés je
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pense à as et ibm par exemple qui était déjà sur des sur des sur des chemins et qui pour nous nous on fait vraiment
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enfin qui nous ont inspirés et on a vraiment eu envie d’y aller qu est ce que tu peux nous dire un peu ce que tu
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as parlé de rse d’entreprise a mission comment ça a évolué et comment vous êtes
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monté en maturité sur ces sujets ou est tout à fait on a on a d’abord engager
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une démarche rse probablement un peu classique en identifiant et déjà en appelant les
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équipes de l’époque à se positionner sur des questions d’achat de déchets en regardant un petit peu ce qu’on faisait
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honnêtement cette démarche rse elle a fonctionné on l’a lancé allez en 2011
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2012 elle a fonctionné pendant trois quatre ans et puis elle s’est un peu essoufflée
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moi g 20 je pense qu’on a aussi fait l’erreur peut-être de 2 m la fonction rs
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sur des personnes aussi à l’ agence qui ont porté un peu seul le responsable rsa qui à la casquette rsa il est tout seul
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à la portée donc c’est pas tellement partager le jury par bah on se retrouve un petit peu
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sec et du coup nous on sentait qu’on poussait donc ça s’était essoufflé clairement et on avait besoin de
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vraiment de se dire qu’on repart mais autrement en un barcamp justement tout le monde pour que tout le monde comprenne et puis envie aussi de porter
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des sujets que ce soit pas à nous aussi de pousser tous les tous les projets parce que on s’épuise un peu parce qu’on
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a l’impression que c’est un peu contraignant or je suis convaincu que ça ne doit pas l’être et donc effectivement il y avait
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ça il y avait également dans le chemin on a regardé un petit peu on a été
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signataire du global compact c’est en à regarder un peu les labels les certifications mais j’avoue qu’on était puisqu’on est
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une entreprise et services ça nous fait un petit peu peur ce côté très process du lucie de l’iso 26000 et
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c’est vrai que la dimension entreprises à mission était plus inspirantes je pense aussi un peu plus en hauteur aussi
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par rapport à ce qu’on veut faire de l’entreprise à son modèle à quasiment un peu philosophique en fête est donc là on
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l’a plus senti et je pense que nos équipes aussi en plus adhérer en fait c’est à cette démarche
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super on va revenir sur les leviers de l’adhésion mais j’aimerais bien kevin
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que tu nous dises aussi quelle a été votre déclic comment pourquoi
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vous êtes arrivé à une good shoes qu’est-ce qui a fait que à un moment on se dit je veux monter une entreprise de
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baskets équitables rhône aux moines à 29 ans au moment des crimes ghosn avait 25
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ans on entend beaucoup de gens de notre génération à la quête de sens vraiment
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c’était ça moi j’ai travaillé pendant quasi cinq ans dans un cabinet d’expertisé comptable est alors loin de
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moi de dénigrer du tout ça remet en tout cas moi à titre personnel je me trouvais pas mon inspiration et et quand on a 25
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ans et qu’on attend juste les voyages pour s’évader on se dit que amincie on a loupé quelque chose et donc j’ai senti que j’avais
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besoin de choses et beaucoup de bénévolat etc et j’avais besoin au quotidien de de faire tout simplement quelque chose qui
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me rendent fier et et j’ai voilà j’ai étudié plusieurs choses me suis enfin
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moment forcément de gros doutes et de questions et puis je me va je l’accompagné
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beaucoup d’entrepreneurs et je me suis dit pourquoi pas à mon tour entreprendre et autour de mes valeurs et que c’était
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peut-être la meilleure manière justement de faire quelque chose qui correspondent le plus à mes valeurs et ce qui a créé l’idée c’est justement les voyages
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après un dernier voyage au mexique on avait aussi au pérou avec avec ronan
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et à chaque fois je parle pour moi j’étais fasciné par l’artisanat ethnique
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et tous ses savoir faire de de tous et les pays qu’on pouvait voyager et
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partant de ce postulat on s’est dit pourquoi ne pas travailler autour de ça autour de du côté équitable et surtout
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mettre en place un cercle vertueux qui fasse que si demain l’entreprise fonctionne toutes les parties prenantes
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internes ou externes de l’entreprise y trouvent leur compte et pas que le système traditionnel où seuls les dirigeants ou les fondateurs de
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l’entreprise y trouvent leur compte et c’était sûr c’était sale à la base du projet et n’en sortent second temps est
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venu la chaussure ça a été un peu le chemin à l’envers mais ronan ayant il parle vietnamien il connaît le vietnam
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il avait son réseau là bas donc c’est tout naturellement qu’il est retourné là-bas et puis bah on s’est dit bon si on vient
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pas des on vient pas de la mode n’a pas fait d’école de commerce on n’a pas fait l’école de comme on n’a jamais design et
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rien notre vie donc basse il faut faire quelque chose dans la mode et bats autant que ce soit quelque chose qui
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nous plaisent et du coup on était fan de basket et on a été dans les baskets voilà un peu la construction mais
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vraiment la base c’est cette quête de sens on a beaucoup entendu parler de digital natives
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est ce que tu te considères comme un hymne pacte ni team alors digital
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natives c’est sûr que non ca c est clair en tout cas pas moi une taxe native
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ouais ouais je pense je pense que à partir de notre génération il ya je le vois bien moi dans mes dans mes proches
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dans mes amis on a tous eu besoin à type pro perso de faire un peu bouger les
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choses à notre manière et et je pense que oui on est on est cette génération
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là et les autres on n’est pas que d’ailleurs quand je dis ça on va dire
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qu’on est que la septième génération à faire ça on voit bien que maintenant tout le monde est concerné par ce sujet là moi mes parents l’ont été bien avant
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moi et je pense que c’est aussi le var éducation qui a fait que donc toutes les générations le sont les nouvelles
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générations est comme moi mais mes grands parents je vois bien qu’ils ont eux aussi ce pays c’est la force des
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choses qui fait qu’ils ont ces problématiques en eux donc je pense à concerne vraiment tout le monde maintenant super merci marie que tu peux nous
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parler de ton déclic à toi mais je vais reprendre le côté mac native mais je me
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suis rendu compte après coup qu en fait j’étais vraiment tombé dedans enfin j’ai grandi en pleine nature mon père et
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travaille sur les économies d’énergie quand je suis né si vous voulez je n’ai jamais eu
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d’autres constructions en moi que l’environnement donc après j’ai fait une école de commerce j’ai effacé par des
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grandes entreprises pas longtemps mais un petit peu et quand j’ai créé tuvalu ça faisait déjà quatre ans que je
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travaillais enfin sur les études environnementales ont donc c’était à
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l’origine du projet de contribuer à aider les autres entreprises à intégrer en elle et à leur
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donner les outils pour pour piloter sa et pour intégrer au coeur leur stratégie
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et j’ai déjà dit les déclics ils viennent quand même en grandissant en devenant plus nombreux donc on avait
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travaillé à vision dès le début mais on l’a re re re re travailler ensemble et
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puis il y avait le déclic bicorps quand même où il ya ce côté où c’est notre
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métier beaucoup le fait pour les autres tout le temps et quand on veut un moment on se dit voilà qu’est ce qu’on si on le
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fait nous qu’est ce qu’on fait et à l’époque à puce avec des yvon chouinard
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je rejoins les choses inspirante opus est un surfeur meurtre donc on trouve
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des choses comme ça a cédé patagonia c’est une super entreprises donc et big up on a voulu rejoindre cette comédie
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d’entreprise qui était super pionniers donc nous c’est un peu l’esprit pionnier je veux dire l’équipe déclic c’est de dire ah c’est quoi le nouveau truc avant
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que ce soit le moment donc on s’est plongé là dedans 2016 mais c’était la curiosité est alors
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comment avec un esprit pionnier comment est ce qu’on embarque ses
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salariés les membres de son organisation quels sont les leviers que tu as que tu
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as utilisé que tu utilises aujourd’hui pour justement prendre ce chemin mais je fais gaffe à pas de courir tout seul
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devant et amoureux tout autour des pour bien c’est bon peut-être plusieurs avec
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moi je rigole mais c’est pas faut donc
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de temps en temps se poser sur sur des grands sujets donc climat rs impact tout
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en gardant il ya des gens qui sont plus qui ont plus envie de nouveauté puis d’autres qui aiment bien prendre le
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relais il en faut aussi puis d’autres sont dans le code et dans le logiciel chez nous il ya pas mal de personnes
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dans l’écosystème le gros projet qui compte kenney avec le confinement c’est nous on dit pas
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entreprises libéré parce qu’on n’a jamais été emprisonné mais c’est un don
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qu’on appelle sa lola le projet lola de l’aspirer de l’eau la croatie qui est plus une gouvernance organique et là on
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est en plein dedans donc comment on construit des cerc comment chacun a un rôle
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comment on décide tous ensemble et et on
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va voir après notre donc ça s’est super je pense tout le monde est dedans vraiment quelques séminaires ouverts ou
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au bord de la mer ça aide aussi pour se mettre pour lier ça a quelque chose de fun c’est super important
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voilà il ya plein de et la certification victor qui arrive l’année prochaine qui
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va être aussi un moment un peu collectif ok donc pas de responsable rse qui gère
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tout seul la certification c’est vraiment différent de le faire enfin
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c’est hyper instructif de le faire pour soi quand on le voyait en permanence pour les autres et souvent je leur dise
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ah ah tu vois là on l’a fait le bilan carbone pour tuvalu nous mêmes et ils
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ont pris conscience et c’est mont anis très triste d’ailleurs qu’il a fait qu’ elle sait pas son métier donc j’ai bien compris donc un bon
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levier tu parles marion comment tu comment calé levier justement dans son entreprise
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comment les salariés se sont sentis engagé sur ce chemin de l’entreprise a mission est ce qu’il ya quelqu’un qui
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anime la démarche en interne comment ça fonctionne alors il ya eu dans la phase 2 en fait il ya eu un
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moment fondateur qui a été admis par tous vélo à la mer effectivement on sait poser
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collectivement on savait pas voilà on avait envie d’y aller on avait envie de donner plus d d’ambition mais
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honnêtement on sait pas exactement encore ce que ça allait donner et pendant deux jours on a réfléchi et
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collectivement de sa a immergé en fait voilà une ambition des objectifs à court
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moyen long terme aussi pour pouvoir se projeter pouvoir commencer par des actions concrètes pour pas être trop sur
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des plans sur la comète un peu conceptuel on voulait vraiment voilà avoir ces différents temps et c’est vrai que on a
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été aussi conseiller là dessus il ya quatre en fait grands piliers et groupes de travail ont absolument l’ensemble des
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équipes sont inscrits au moins un des groupes donc un groupe qui est plus sûr le la qualité de vie au travail une
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dimension plus sociale inquiets sur nos pratiques en fait agence la fal notre
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impact en fait mais en tant qu’agence tant qu’entreprise 1 sur notre sur notre
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business model sur la façon dont on fait notre métier sur la façon dont on voit ça avec nos parties prenantes et un
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autre sur le sur le l’engagement sociétal le mécénat le voilà et donc
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c’est chacun s’est inscrit dans un groupe et on a laissé en fait la main à
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ces groupes là qui sont autonomes la volonté justement c’était palais de push ou des temps dans le contrôle
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l’idée c’était de bien sûr de faire émerger des chantiers des envies aussi à
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courre un moyen terme et à long terme mais est censé rendu compte qu’en fait ce qui était génial c’est que c’est que
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les chantiers avancer tout seul sans qu’on ait besoin de gagner enfin voilà et ça avançait tout seul il ya des trucs
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forcément qui voit là on se cherche un peu où on pensait aller là et puis on va
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ailleurs ex terme et c’est ça qui est intéressant est donc au bout de voile à deux d’un an là on s’est dit ah ben
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voilà on a avancé sur tout ça et on est en train de définir justement banos enfin on a déjà défini nos futurs
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chantiers mais ça fonctionne d’accord ça l’effet de l’espace il faut trouver des
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temps pourrait impulser la période de confinement honnêtement ça pas été hyper simple parce que on a eu plein de boulot
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parce qu’on a été aussi très focus sur les projets clients est il ce côté le
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collectif ça marche 1 mais voilà on aimerait bien se revoir la sélection
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quand on est 22 bon la vision très bien mais c’est vrai qu’à un moment donné un groupe de travail on a des idées ou
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voilà on note enfin vraiment il ya une co-construction c’est quand même super
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riches donc je crois qu’effectivement on aimerait tous se revoir j’en profite d’ailleurs pour passer un petit message
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à nos auditeurs n’hésitez pas à poser des questions sur le chat à nos intervenants ils y répondront évidemment kevin avec
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une gauche chose comment quelles sont vos levier d’engagement pour les salariés mais aussi pour vos partenaires vous avez une chaîne de valeur qui est
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très importante comment est-ce que vous travaillez et est ce que ces enjeux de mission
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d’impact comment est ce que est ce que ce sont des leviers de marque employeur par exemple voilà comment est ce que
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vous avez engagé vos salariés alors c’est vrai que nous on sait pas poser toutes ces questions là au début
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puisque sa fin ça a été en fait tout est tout naturel on a fondé l’entreprise sur
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ça on va on arrive maintenant sur ces questions-là des deux bicornes entre les émissions etc
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de manière générale que ce soit au vietnam en france les partenaires prestations de services etc
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on essaye de travailler avec des gens qui partagent nos valeurs c’est quelque chose et ça c’est même à titre personnel
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d’avoir des gens qui ont les mêmes convictions que nous c’est hyper important pour nous on est par exemple
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là en train de recruter une responsable ou un responsable communication et ça
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fait partie évidemment des critères de sélection et on le sent tout le monde dit qu’ils sont tout le monde dit voilà
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je suis à fond sur les voulait tous évidemment ce qu’on l’a mis sur la fiche de poste mais non le sens et ce feeling
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là il est ultra important mais il n’empêche que justement nord nous on intègre évidemment tous nos partenaires
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halal dans et donc l’on amenait postuliez c’est un exemple n’a postulé l’annoncent juste sur linkedin il ya
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deux semaines et on a reçu à peu près de 220 cv et tousse tousse tousse alors
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encore une fois il faut voir le vrai du faux mais tous à nous ont dit qu’ils avaient ils avaient un besoin de sens et
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on a eu des gens de tout âge qui ont postulé des gens qui n’avaient rien à voir avec la mode qu’ils n’avaient
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jamais travaillé dans la mode qui est samassa nous a surpris agréablement surpris dans s’est dit ok donc il ya
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vraiment un grand besoin de sens et donc toutes les entreprises qui vont vouloir être bicorps mission ou autre évidemment
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que ça va engager les salariés appartement où c’est sincère ça va forcément engager les salariés ça va
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hein mon avis baissier le turnover et les gens vont tout simplement retrouver le goût du travail ne pas parce qu’il
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faut pas juste un travail ils font un travail pour une cause derrière et moi l’ayant connu avant de créer une go
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c’est ce qui me manquait je comprends tout à fait cette réflexion là et du coup c’est ce qu’on essaye évidemment de le faire nous en interne
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avec nos seriez alors on en est que deux pour le moment donc c’est plus facile que quand on en a une vingtaine
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mais il n’empêche voilà c’est quelque chose évidemment qu’on a qu’on a en tête
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et et voilà je le au vietnam également
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autre exemple qu’il a et au vietnam il a été difficile pour nous au tout début du projet de trouver un atelier
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d’assemblage parce qu’on avait des petites quantités à produire et parce
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qu’on était extrêmement chiant pour dire vraiment le mot parce qu’on demandait tout un tas de
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certificats et surtout on demandait la transparence ronan habité longtemps au vietnam et on voulait se rendre à tout
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moment dans l’atelier on pourra faire des photos des vidéos etc pour qu’un maximum de transparence et c’est ça qui nous garantit et qui
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garantit à nos clients que oh là là d’un papier d’un certificat wallace est présent c’est le fait qu’on me voit de
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nos propres yeux alors quand on veut chercher un fournisseur comme ça au début ce n’est pas c’est très très compliqué ce qui a
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fait qu’on a trouvé c’est ce qu’on pouvait faire auprès des artisans auprès de la construction d’écoles et c’est ça
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qui a touché notre partenaire qui est toujours aujourd’hui deux partenaires se fait quatre ans qu’on lui ait cessé ce
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sens là encore une fois qui a fait que on a pu travailler avec eux donc je pense que sur toutes les sur toutes les
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étapes de l’entreprise cette notion de sens elle est hyper importante et il perd en gageant temps merci je trouve
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que c’est passionnant parce qu’on parle d’un pacte est finalement parlé aussi de régénérer la relation au travail
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la façon dont on travaille ensemble dont on va prendre en compte ces impacts
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j’aimerais lancer une petite vidéo c’est le témoignage de cedreo sur cette question et vous allez voir que la vidéo
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illustre très bien justement cette importance du collectif sur ces questions d’impact
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[Musique] le premier facteur clé de succès ça
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était d’impliquer l’ensemble de l’équipe chaque personne chez cedreo dispose de six jours par an pour s’impliquer sur
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des missions à impact dans tous les départements sinon nos dirigeants est souvent voire
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toujours le goulet d’étranglement c’est ce qu’on a constaté chez cedreo mais aussi ailleurs il deuxième facteur
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clé de succès ça a été d’en faire un objectif stratégique de devenir bicorps a été un des quatre objectifs
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stratégiques qui concer fixé pour l’année 2020 et comme ça on a appliqué les mêmes méthodes et la même recherche
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d’efficience que pour le reste de l’activité la démarche a été beaucoup plus structuré et on a été beaucoup plus
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efficace sur notre impact qui s’est largement améliorée sur les critères bicorps mais pas seulement
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ce que j’apprécie particulièrement dans la réalisation des actions rse c’est le
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côté transversale de ses projets ça nous permet de travailler avec des collègues avec qui nous ne sommes pas forcément en
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interaction directe au quotidien et donc d’aller plus loin en termes de cohésion des équipes participer à la rse permet
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de prendre conscience de l’impact de mes actions et travaille avec mes collègues pour trouver les alternatives les bonnes
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pratiques pour que nous ayons un impact positif je suis heureuse de participer à la mise
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en place d’une politique rse collective et sincère parce que cela répond à une recherche de sens et de cohérence avec
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mes valeurs personnelles je suis rendu compte que travailler sur les aspirations au sein de la société
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savait aussi un impact sur ma vie personnelle notamment sur les tous les actes quotidiens liés à l’environnement
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les actions positives que nous réalisons dans la vie privée peuvent parfois paraître insignifiante alors qu’elles ne le sont pas travailler
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en équipe avec le soutien de notre société donne plus de crédibilité à ces actions c’est gratifiant et encourageant
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merci à ses deux rivaux pour ce témoignage collectif sur leur démarche
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alors justement j’aimerais bien que l’on continue à parler de collectif et d’écosystèmes puisque ces questions
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d’impact elle vous amène finalement à rendre compte à vos parties prenantes mais aussi à montrer à vos clients que
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l’impact que vous affichez et dont vous parlez est réel et se traduit dans vos offres kevin est ce que tu peux nous dire
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comment vous communiquez voulu parler de transparence tout à l’heure comment vous
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communiquer à vos clients et plus largement à vos parties prenantes ces enjeux quels sont les outils que
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vous utilisez est-ce que vous avez ouvert des espaces de dialogue avec certaines parties prenantes pour aller
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encore plus loin sur votre modèle alors il y avait dès le début évidemment il y
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avait les réseaux sociaux il ya toujours les réseaux sociaux on est on essayé de communiquer au maximum surtout ce qu’on fait d’être le plus transparent possible
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et je pense que dans la mode en tout cas c’est ce qui manque et c’est là où nous attend d’être le plus transparent
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d’autant qu’ on a une à une une démarche équitable mais au vietnam est il loin des yeux
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loin du coeur donc c’est à nous de rendre compte de tout ça on a d’ailleurs prévu là ça devait être fait en 2020
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soit en 2021 de partir avec nos salariés au vietnam pour rencontrer tout le monde et voilà essayez de de faire
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transparaître tout ça on a près dé par exemple il ya le clan et ngo qui est sur
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facebook où là c’est un peu les aficionados et qui peuvent justement dialoguer avec nous alors on peut le faire soyez tous les réseaux sociaux
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mais là ils ont un accès plus direct et après trois ans d’existence on s’est dit il faut maintenant qu’on arrive à
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formaliser les choses à aller plus loin bouna maintenant le recul nécessaire
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pour le faire et donc cette année c’est pour ça qu’on a voulu être certifié pick
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up donc on a été certifié en 2001 en 2020 qu’on a voulu lancer un bilan carbone avec tout va l’eau donc on vient
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de commencer et qu’on a également travaillé avec imm’pact choix qui est une entreprise nantaise sur la mesure
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d’impact et là ça nous sert à mesurer notre impact auprès des artisans et auprès de la construction d’écoles donc
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d’avoir des données chiffrées à un instant t de pouvoir ensuite le faire évoluer dans le temps et de voir un peu
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de progression dans une démarche justement d’amélioration continue et ça de le communiquer et de l’eau auprès de
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nos clients et pas que auprès de toutes nos parties prenantes et de justement d’avoir des choses un peu plus formelle serait qu’on est une petite entreprise
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donc on n’a pas tous ses outils et ray ce que peuvent avoir les grandes entreprises c’est nous la la difficulté
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ben justement tous habits corp tuvalu une pac tracks ça nous permet d’avoir cec outils faciles d’accès sur
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lesquels on peut communiquer d’accord est-ce que vous avez par exemple plusieurs niveaux en terme
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sur les indicateurs est ce que par exemple vous avez une communication qui tient plus à votre communication de
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marque et une communication plus expertes pour des gens qui seraient intéressés par exemple pour connaître la
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façon dont sont des pratiques d’éco conception de vos chaussures par exemple est-ce que ça c’est des choses que vous
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avez prévu ou que vous faites qu’on a qu’on a prévu mais on va sur le site internet après on veut mettre justement
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tous les rapports la documentation les audits on veut les rendre accessibles à tout le monde donc ça ça c’est prévu ça
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devrait être fait j’espère à partir de 2021 et après la communication évidemment l’adapt dans un magasin où
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quelqu’un va arriver et voir les n go / / sur une étagère
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il faut que le message passe hyper vite donc là on va être dans quelque chose de très synthétique et après c’est aux
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vendeurs de connaître la marque à 2 pour les développer davantage et sur des
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plateaux comme ça sur des conférences etc on a la possibilité du coup de développer davantage ngô des fois même
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de répondre aux questions des gens et c’est dans ces moments-là que c’est plus intéressant parce qu’on peut aller plus loin que même notre site internet où on
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essaie d’en dire un maximum mais à un moment donné si on donne trop et qu’on met des pavés plus personne va lire donc
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c’est en utilise aussi beaucoup la photo et la vidéo pour faire passer et surtout la vidéo pour faire passer justement le
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maximum d’informations et le maximum de transparence alors on parlait tout à l’heure de patagonia patagonia s’est fixé une
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mission d’impact mais aussi d’influencer finalement le secteur de la mode et de
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le faire bouger est-ce que ça aussi même si vous êtes une petite entreprise c’est quelque chose que vous avez en tête que vous
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avez envie de faire oui oui complètement patagonia oui excellente marque je vendais pas d’âme
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david chen j’emporte ça a été génial que mes enfants oui oui on leur avait en toute modestie
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bien sûr ce qu’on n’a pas du tout envie d’être d’être moralisateur mais en tant que marque engagée forcément on doit
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responsabiliser un minimum notre clientèle ou au delà de clientèle ça passe notamment par là en ce moment il
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ya le black friday fagots a lancé max friberg win again et a rassemblé des
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centaines de marques françaises et européennes autour de ce mouvement et l’idée justement c’est de sensibiliser
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les gens sur l’impact de la mode et de dire voilà vous encore une fois avec un
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ton pas du tout moralisateur mais il ya des promotions avant d’acheter posez vous la question est ce que vous
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en avez besoin est ce que votre votre acte d’achat il est sensible il est motivé juste par le fait qu’il ya un
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moins 50% et vous avez peur de le perdre dans six mois seulement 50% ou si vraiment vous avez besoin de quelque chose et auquel cas vous avez besoin de
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quelque chose effectivement c’est le bon moment pour acheter mais surtout se poser la
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question de j’ai déjà plein les armoires des vêtements des chaussures etc il ya des déchets de vêtements n’en plus
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finir donc réutilisant ce qu’on a déjà ce qu’on a déjà produit soit par le
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recyclage soit par le don ou la réparation etc et avant d’acheter posons
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nous les bonnes questions et ne répondant pas à ces logiques de deux promotions abusives qui entraîne de la
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surconsommation et donc de la surconso surproduction avec un impact environnemental et sociétal
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désastreux ça c’est le message de mecs friday gouineau guen et c’est globalement le message sur toute l’année
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et pas que sur cette période-là de toutes les marques engagées comme ingo comme patagonia ou autre merci qu’elle
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est très intéressant ce concept de marque engagée marion je me tourne vers
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toi comment est-ce que aujourd’hui chez tes clients et auprès des clients tu
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parles de votre mission de la façon dont vous voulez la retranscrire aussi dans
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la façon dont vous vous développez vos offres de services et commandes dans le secteur de la communication justement on
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est une entreprise à mission et on change les choses nous on est on est rentrés par notre
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raison d’être qui était celle de la communication utile clairement parlé tout à l’heure de sens de sens des équipes ont quelques fois été faits de
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la nuit quand on fait de la communication peut se poser des questions existentielles sur au final ça sert à quoi la comme quand on fait de la
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com et en fait on on a vraiment en fait comme ligne cette notion d’utilité
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cette notion d’utilité est-ce que moi en tant que chef d’entreprise j’ai intérêt à vendre du flyer de la f1 je sais pas
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mon métier mais et b en tout cas voilà du produit comme à tout prix essayer de
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le vendre le plus on s’est dit non on va on va essayer de réfléchir à ce qui est véritablement utile et qui va répondre
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aux enjeux nous ont des entreprises qu’on accompagne et ça on a fait
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plusieurs choses et on est en chemin en fait là dessus on a d’abord un petit peu regardé pour
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qu’ils ont beau c’est en fait parce que ça répondait aussi à des questions que nous poser l’équipe c’est à dire que voilà ce que je disais c’est qu’il est
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une agence ancien avec des clients qui nous accompagne ses clients dans tous les secteurs d’activité on a essayé de
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regarder quel est l impact aussi le conflit climatique en fait dès de nos clients qu’on se dira
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où se situe et on a essayé parce que quand on changé en bien entrepris sa
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mission on ne veut pas travailler que pour ceux qui sont bons et plus plus on
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veut accompagner la transformation des entreprises mais c’est bien de savoir un peu quels types de projets on va accepter demain et on avait des équipes
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qu’ils aient attendu et là vous vous allez faire là comme d’une boîte est ce que vous êtes sûr est ce que est ce que
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finalement on va pas valoriser une boîte qui a peut-être des pratiques star il vraiment s’est posé des questions clés
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en continu à se les poser mais le fait de mettre un peu à plat les collaborations qui était souhaité des
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pas décodé collaboration qui était possible et qui nous semble utile parce qu’on va aider la boîte à se transformer
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parce qu’elle a besoin elle même d’embarquer ses équipes elle a besoin d’eux si on est dans le dans le textile par exemple ma une boîte
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qui changent de modèle elle a besoin de le faire le faire savoir le faire comprendre aussi et puis des collaborations sinon
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souhaité et ça veut dire que alors on ne vire pas nos clients c’est pas la
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question mais il ya certaines collaborations qu’on accepte plus est quelque part être entreprise en mission
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c’est plus facile aussi pour dire non je me suis vraiment détester parce que
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parce que il ya des choses on est moins à l’aise on n’était pas à l’aise déjà il ya quelques temps et et
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effectivement aujourd’hui c’est plus facile donc on est dans ce chemin là est
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effectivement vous avez de nos clients on est aussi on l’est on va les
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embarquer là dedans tu qu’on va se lancer dans quelque chose d’un peu plus ambitieux sur l’éco-conception alors l’éco-conception contrefaits des
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services faire des magazines on peut faire des sites web et ce sera intéressant d’aller un peu étiré
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justement la chaîne de valeur parce que le mag une fois qu’on a fait le bon format les
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encres végétales le papier etc oui mais au final le camp compte tenu de
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son enjeu à cette entreprise est ce qu’elle a vraiment est-ce qu’elle a besoin de faire un mag est ce qu’elle vous en veux faire comme ça comment
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qu’elle ait piqué les lusage quelle est la fin de vie sont produits comment on peut le réinjecter quelque part
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peut-être dans le circuit il ya toutes ces questions là qu’on est en train de de se poser et et on va embarquer
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quelques clients et fournisseurs là dedans je rebondis sur ce que tu dis ce que je rejoins fond nous dans la même
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démarche on se pose une question on a on s’est pas posé la question au début on a fait de la pub on a fait de la pub sur
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facebook on a fait la pub sur google et on en fait toujours même si on a réduit la voilure aujourd’hui on se pose la question d’arrêter la pub justement pour ces
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choses là c’est tout à l’heure je parlais de production éthique mais ça va au delà de la production et donc
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registre nous a rejoint en septembre quel responsable e-commerce lui là il est à fond pour ça et du coup il ay la
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voilà il a mis ça sur la table il a bien fait justement les salariés qui sont moteurs etc
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voilà le sens nice en est une preuve et aujourd’hui on se pose la question est ce que une marque commune go est ce
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qu’on doit faire de la pub sur facebook ou google est ce qu’on doit soutenir les gaffes à wuala c’est une vraie question est du
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coup peut-être que 2021 en aura on prendra la décision d’arrêter et de bas
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communiquer autrement tout simplement du coup c’est un levier d’innovation parce que effectivement plutôt que de
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faire comme les autres et de le faire et on n’est pas obligé aussi le faire par
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une contrainte aux parents il ya vraiment des leviers de d’exploration d’innovation là dedans qui sont vraiment
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sympas en essayant de tir bas comment justement je vais je vais toucher mes futurs clients comment j’anime cette
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communauté autrement que par de la pub ou par une coop un peu classique est
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alors du coup avec qui est ce que tu te pose ces questions parce que j’imagine évidemment tu les pauses avec avec les
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personnes qui composent l’entreprise mais est-ce que tu as aujourd’hui un comité d’impact des parties prenantes
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vers lesquels tu peux te tourner pour justement échanger sur ces enjeux qui sont pas évident il ya des dilemmes
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souvent quand on quand on traite de ces sujets donc oui alors l’entreprise a
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mission demande est ce qu ont créé un comité de mission comité d’impact qu’on
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a qu’on a créé on est au tout démarrage ans donc on va se voir en début d’année prochaine vise voilà on est on est super
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contents de notre groupe et de notre comité de mission ça va être chouette justement avec des acteurs il ya des
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salariés il ya des clients il ya des experts rsf c’est et on va
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nous falloir se poser des questions de stratégie en fait donc on va s’inspirer on va aussi rendre des comptes sur notre
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niveau d’avancement donc oui on va faire avec sur ce comité de mission et puis après sur certaines questions notamment lee co conception
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veut on veut embarquer nos fournisseurs et puis et puis nos clients aussi parce
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que dans d’autres raisons d’être il a milité et agir aussi pour la transformation des entreprises mais on
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veut on veut embarquer nos clients parce que si on fait une super offre et que à côté voilà on veut sensibiliser et il y a du
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boulot père plein de réussite à ce comité d’impact marie toi tu accompagnes
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finalement les entreprises pour les aider à rendre compte de leur impact à être plus transparents à pouvoir
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en parler l’expliqué le piloter mais chez tuvalu
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comment ça se passe bonne question et
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déjà on a on a créé un petit collectif donc les bicornes c’est un lieu d’affluence qui est fort et on réfléchit
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beaucoup surtout ces questions là il ya la communauté des entreprises à mission qui est à paris j’avais participé et
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c’est des échanges de très bonne qualité mais on voulait aussi être actif entre
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nantes est donc je participais aux dirigeants responsables de l’ouest et on a créé un collectif très informel donc
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on y est tous ces mois là on se retrouve c’est par hasard et on se retrouve tous ici plus pour des petites entreprises
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qui veulent échanger sur ces sujets là donc on se teste ensemble sur les comités d’impact
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pour nos clients donc il ya plein d’étapes déjà qu’ils ont mais dans notre comité
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d’impact et nous on se pose encore la question parce qu’on voudrait un peu faire le construire des comités d’un pack de nos rêves donc 2020 terne
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voilà donc c’est aussi un vrai plaisir qui on peut inviter pour discuter tous
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ces enjeux là donc on ne l’a pas encore on va être clair par contre un acte rail soit méthodologie et sa structure et
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c’est vrai que c’est ce qu’on fait et dit que c’est de la stratégie on a des axes d’engagement
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ces axes ils sont liés avec des enjeux et on a beaucoup travaillé là-dessus pour notamment
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classifié ces enjeux d’impact et on l’a donc ca disponible à disposition un pack t’observer impact irait observeur points
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comme c’est une démarche collective et comment à quelle région contribue donc nous on va contribuer concrètement aux
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enjeux du changement climatique et là on peut compter nombre d’entreprises qu’on a réussi à s’engager
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dans une démarche de réduction avec des objectifs de réduction combien en compte
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de tonnes de co2 en a quelques-uns qui font monter énormément le compteur ces
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voix là on est et combien progressivement on va pouvoir voir les choses se réduire combien de tonnes dont
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quant à contribuer à économiser là ce sera notre vrai impact mais c’est pas facile à mesurer et puis après sur la seule à rs des
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choses plus concrètes combien de comité de direction utilise tuvalu pour piloter et donc vraiment ont
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des réunions ou alors combien de personnes on a formé sensibiliser et c’est beaucoup on aime bien comptés mais c’est notre
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job donc on a plein en indicateurs et est ensuite bien on essaie de le piloter
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avec nos propres outils donc forcément on a déjà testé ça super merci marie on
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va continuer avec un témoignage de connecthings qui fait partie du fameux groupe qui a très vivement donc j’ai
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fait partie du comité d’impact connecthings pour pour tester un petit peu avec eux c’est parti
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qu’est ce que l’entreprise a mission à apporter à une société comme
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connecthings qu’est ce qu’elle peut vous apportez demain première chose c’est une démarche
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structurante une démarche qui en fait inscrire une stratégie sur le long terme et qui permet d’avoir en fait
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d’embarquer l’ensemble des collaborateurs comment si les prix connecting et
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comment nous conseillons de six points eh bien nous avons plutôt que de choisir
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des prestataires extérieurs nous avons tout internaliser chez connaissent et nous avons commencé donc par plusieurs
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brainstorming à définir nos valeurs qui se résume par l’acronyme époque explorer
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protégés aux est connecté ensuite nous avons défini notre raison d’être et
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notre mission avec une version en anglais pour démontrer notre
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internationalisation et une version en français pour ancrer notre démarche
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territoriale la version française s’est connecté les humains et des organisations et réunir
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celui champs technologiques et respect de la planète ensuite nous avons continué cette
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démarche grâce à l’éco système d’antenne notamment grâce à marie gaborit de
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tuvalu en définissant l’impact que nous souhaitions donner et la mesure d’impact
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que nous souhaitions réaliser en nous appuyant sur en fait les objectifs
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développement durable l’onu en en choisissant 3 sur lequel nous pensions être légitime pour mesurer l’impact et
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en définissant pour chacun de ces trois au dd trois indicateurs de mission nous
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avons finalisé la mission en définissant un comité d’impact réunissant nos parties prenantes
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nos clients fournisseurs salariés associés spécialisés mesure d’impact et
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associations qui en fait nous aide dans la mission alors un cas très complet
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avec connecthings notre cas d’école touche à sa fin je voudrais que nos
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intervenants partagent un dernier mot de la fin très bref pour nous pour inviter
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d’autres entreprises à se mettre sur ce chemin de l’impact positif paris sait où et comment je dirais juste
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que en ce moment faut y aller parce que tout le monde attend les gens attendent du sens les entrées clients attendent
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des entreprises engagées et cette année à accélérer les prises de conscience et
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c’est que du bonheur j’espère qu’on a
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réussi à montrer que les salariés étaient d’autant plus engagés dans leur dans leur travail avec une logique et
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reste donc on peut que engager toutes les entreprises à engager une démarche impact et surtout une démarche sincère
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et puis cette démarche de responsabilité de réflexion en fait sur son impact
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elle est pas du tout antinomique avec de la performance économique donc pour les dirigeants qui nous regardent aujourd’hui sur sochaux le
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challenge vraiment c’est une question d’avenir et de se poser la question de à quoi sert mon entreprise c’est aussi se
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poser question de l’avenir de mon entreprise est aujourd’hui il ya un besoin de sens à tous les niveaux sur ce
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sur ce sujet la traque ccd super outil parce qu’aujourd’hui on sait pas savoir
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ce que sera demain par contre aidées quand même des tendances de fond et ses outils autour du climat et de l’impact politique au
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pacte impact tout court positif et la sincérité c’est vraiment des
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outils de stratégie et de performance de business et bien je vous remercie pour
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cet échange je retiens donc la sobriété l’utilité le sens et surtout le bonheur
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à bientôt [Musique]