Thomas Maréchal, le syndic qui vous veut du bien

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Nantes Métropole Entreprises a rencontré Thomas Maréchal fondateur de "Partie commune", un syndic bienveillant.

Thomas Maréchal

Marqué par une mauvaise expérience personnelle, Thomas Maréchal s’est intéressé de plus près au métier de syndic. Une plongée dans une profession mal aimée dont il est remonté avec Partie commune, un syndic pas comme les autres qui privilégie le vivre ensemble et laisse la part belle à l’écologie.

Un service qui s’adapte à la vie des gens

Trop souvent, « syndic de copropriété » rime avec « tracas et frais ». Comme pour les parents de Thomas Maréchal. « Les problèmes qu’ils ont rencontrés avec leur syndic m’ont amené à m’intéresser à la question, à ce métier qui souffre d’une mauvaise image alors qu’il gère les biens d’un tiers de la population, soit 25 millions de personnes ! Aucun syndic ne prend en compte l’écologie et le vivre-ensemble, qui sont pourtant essentiels à l’amélioration de la qualité de vie des habitants. » De fil en aiguille, l’idée germe de créer un syndic différent. C’est ainsi que naît Partie commune. Une entreprise engagée (déplacements à vélo, achats responsables, green tech, gouvernance partagée, lucrativité limitée) qui affiche un « prix juste ». Un forfait tout inclus, contrat d’un an, pas de frais de déplacement. Un service qui s’adapte à la vie des gens.

Installer un cercle vertueux

Pour intervenir dans les copropriétés, Partie commune choisit des entreprises locales et tient compte de leur impact environnemental, propose des contrats (assurance, énergie…) avec des prestataires vertueux et si possible locaux, favorise les économies d’énergie, accompagne la rénovation énergétique de l’immeuble, propose l’installation de composteurs, la végétalisation, la rénovation des espaces vélos, la mutualisation des biens et services entre habitants… « Nous organisons des temps de rencontres entre voisins, le partage de journaux et magazines, le troc, les dons… Si on connaît ses voisins, le respect mutuel vient naturellement, il y a moins de dégradations, d’incivilités, c’est aussi une manière de valoriser le patrimoine. » Le succès est là. « Le bouche-à-oreille fonctionne. Notre meilleur argument : nous répondons au téléphone. Nous sommes disponibles car nous limitons le nombre de copropriétés dans le portefeuille de chaque gestionnaire. Cela va très vite. Nous n’imaginions pas un développement aussi rapide ! »

Ce portrait est issu du magazine Les EngagéEs Nouvelle fenêtre.

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Nantes Métropole Entreprises a rencontré Thomas Maréchal fondateur de "Partie commune", un syndic bienveillant.