Retrouvez les témoignages d’entreprises engagées sur le territoire lors de Social Change 2019 et 2020 : des exemples de démarches et de bonnes pratiques sur la RSE à explorer.
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en tout d’abord bonjour à tous merci d’être présent pour cette premier
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atelier de la deuxième édition de social challenge donc grande journée consacrée
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comme vous le savez à la rse et à ses acteurs à perdre et permettez-moi de me
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présenter brièvement donc je suis maggaiez le clanche je dirige l’agencé phrasé ouf
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et je conseille et j’accompagne en fait les entreprises dans leur communication
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rse donc à travers différentes prestations d’ae production de contenu des animations d’ateliers collectifs ou
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encore des conseils sur la stratégie rse chain alors autant vous dire que je ne
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vais pas bouder mon plaisir je suis vraiment ravi ce matin d’être là pour donner la parole à l’une des entreprises
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de ce territoire qui est engagée dans ce domaine est très active depuis
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maintenant bien longtemps je veux parler bien sûr de florentaise qui a su se transformer en profondeur
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innover elle était crochet d’autres marchés et puis se bâtir au fil du temps une politique rse qui est maintenant
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très exhaustive et est solide je veux bien sûr parler de florentaise
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pour en parler donc son fondateur et pdg jean pascal je suis pas donc et là parmi
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nous bienvenue et puis nous aurons six ans en fin d’atelier donc après
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l’intervention de monsieur je suis pas cyprien schneider donc qui est associé
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kpmg qui aussi spécialisé sur les questions rse et qui nous apportera donc
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son oeil d’expert met donc nous allons y revenir
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alors avant de commencer ce que je vais vous demander c’est non pas déteindre vos portables donc ce qui veut changer
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un petit peu mais plutôt de bien les laisser allumées parce que vous aussi vous allez pouvoir en fait vous exprimer
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et puis participé tout au long de cet atelier alors peut-être que certains connaissent
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déjà un petit peu l’outil en fait c’est très simple il faut que vous preniez donc vos portables que vous vous
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connectez sur evans point fr que vous entriez le code alors qui doit
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s’afficher en sur le slide derrière moi et ses 19 ans je crois que minuscules
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majuscules cela fonctionne voilà après c’est très simple donc ya pas d’applications à
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télécharger vous allez simplement sur le site vos questions seront anonymes et
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comme cela vous pouvez tout au long de les changes lorsque vous entendez jean pascal fut pas intervenir
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vous avez une question sur le bout de la langue voilà et n’hésitez pas à voir le petit reflex et valls
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posez vos questions et puis à la fin de cet échange en fait on prendra les
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justement les questions bas en priorité qui seront remontés sur sur evans
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voilà donc je vous laisse peut-être un petit peu de temps donc evans point fr
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et donc le code sc 19
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voilà donc je vous remercie pour votre participation active sur cet outil
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alors avant décès la parole à monsieur fut pas je vais faire un mini portrait
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de florentaise j’imagine que certains connaissent déjà bien l’entreprise mais je vais vous la resituer un petit peu en
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haut niveau de son activité pillant en chiffres alors florante est une entreprise familiale qui est basée à à
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saint-mars-du-désert présentant sa spécialité ce sont les supports de
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culture et en quelques chiffres florentaise c’est un chiffre d’affaires
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je parle sous votre contrôle si vous aviez à rectifier ça t’arrive n’hésitez pas c’est un chiffre d’affaires
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d’environ 50 millions d’euros en 2018 c’est un effectif de 200 salariés dix
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établissements en france six à l’étranger donc deux au royaume uni a en
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estonie a en chine 1 aux états unis et un en inde c’est aussi un million 3 2 mètres cubes
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de substrats produits par an dont 40 % à l’export plus de 1800 clients à travers
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le monde et un projet d’ici à cinq ans de 5 usine de terreau en chine alors autant
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dire que lorsqu’on voit ces différents chiffres on se dit bon bah florentaise à une santé florissante m’exprimer ainsi
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pourtant lorsqu’on a préparé cet atelier monsieur juppe 1 vous m’avez dit que florentaise avait dû à plusieurs
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reprises de son existence vous avez employé des mots forts vous m’avez dit qu’elle avait dû se
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réinventer pour ne pas mourir est-ce que vous pouvez nous raconter à quel moment avez vous dû développer cet
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instinct de survie qui vous a permis de continuer à avancer oui bonjour en effet notre métier de
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base la florentaise ça vient de saint-florent-le-vieil c’est sur les bords de la loire entre nantes et angers c’était d’exploiter du sable de loire et
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que nous exploitons beaucoup de produits du sous-sol bien c’est un petit peu comme le pétrole ça n’est pas renouvelable
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est ce qui fait qu on a dû affronter des crises de d’arrêt d’autorisation de gisements donc la loire mais ça de loire
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c’était en 1993 il y avait beaucoup d’entreprises entre nom et saumur une
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quarantaine il y en a seulement 3 conçu revécu dont nous et c’est en cherchant des gisements de substitution 7 2
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joueurs en 86 donc c’est un an avant l’échéance que nous sommes arrivé sur les bords de l’erdre sur les sourires de
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mazerolles où nous avons un gisement de sable sous le gisement de tours donc nous sommes devenus tourbier exploitants
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et fabricants de terreau en france en voulant remplacer le sable de loire par
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du sable entre guillemets du sous-sol de l’herbe dont on n’a d’ailleurs pas reçu les autorisations à l’époque et pour la
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tourbe c’est un petit peu pareil on a été sur des arrêtés de carrière de trente ans donc de 78 et en 2008 on a là
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aussi connu l’arrêt de nos autorisations d’extraction tourbe sur les bords de
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l’eure donc c’était il ya une dizaine d’années il a fallu complètement se réinventer dès 2000 pour en fait trouvé
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des matériaux de substitution si possible renouvelables pour remplacer finalement la tourbe dans les terreaux
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on sait aujourd’hui si on prend une échelle monde la tour c 60 % du volume de tous les terreaux vendus
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dans le monde en europe ça représente 60 millions de mètres cubes à rapprocher d’un autre petit 700 mille mètres cubes
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que nous faisons en france aujourd’hui d’accord donc ça c’était là dont c’était le premier fera enfin dans votre
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parcours qui vous a poussé à vous réinventer je crois que plus récemment jeu sans doute aujourd’hui vous avez
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aussi un marché qui se réduit c’est ce que vous m’avez expliqué avec un des jardins justement qui perdent un petit
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peu en dimensions voilà depuis 86 le marché du jardinage était naissant à l’époque et bien sûr sur un peu plus de
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30 ans aujourd’hui on peut considérer qu’il est mature depuis depuis environ cinq ans vous avez conscience que les
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maisons de nos parents sont aujourd’hui au moment de départ en retraite des ruraux sont souvent quand c’est en
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périphérie des villes divisés en petits lots un vieux le prix des terrains et bien entendu sur des terrains d’origine
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de 1500 mètres carrés il vous aviez un jardin potager aujourd’hui sur quatre petits pavillons sur ce même terrain s’il subsiste un
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jardin il est forcément globalement plus petit ce qui fait que notre marché se restreint au niveau de tout ce qui est
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rural des périphéries des villes ce qu’il faut il faut donc là aussi se réinventer d’accord vous allez nous
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expliquer justement tout à l’heure comment florentaise travaille aujourd’hui à réintroduire la culture
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dans l’est dans les villes quand nous avons préparé cet atelier moyens chiffre
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qui m’a particulièrement interpellé vous m’avez dit que 40% de ce que vous faites aujourd’hui n’existaient pas il
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ya cinq ans tout à fait ça c’est vrai depuis plus de 30 ans et il est sûr et
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certain que 40% de ce que nous ferons dans cinq ans n’existe pas aujourd’hui c’est mon rôle de dirigeant d’entreprise
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d’essayer de trouver ces futurs marchés entre guillemets ses futurs produits ces
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futurs gisements pour continuer le développement de notre entreprise puisque si on s’arrêtait simplement à ce
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que l’on fait aujourd’hui c’est clairement notre entreprise serait en danger donc il faut
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voilà être dans une culture du changement et c’est pas simple puisque le changement c’est pas facile à vivre
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et il faut savoir mobiliser ses troupes autour de cette stratégie de développement qui qui est nécessaire à
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notre survie alors qu’elle était justement votre votre mode d’emploi comment avez vous réussi à faire
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finalement peau neuve en je vais pas dire en si peu de temps parce que c’est tout un parcours aussi de transformation
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qui a maturé mais quelle qu’elles ont été un petit peu les voies les grandes voix que vous avez exploré
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schématiquement pour l’activité roues comme nous savions que la tour n’était pas éternel à saint-mars-du-désert et
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bien il fallait inventer et finalement les nouveaux matériaux et en inventant ces nouveaux matériaux en 2000 nous
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avons repris des brevets sur l’exploitation de sous produits de
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l’industrie peuple de syrie un des plaquettes de bois et pour les transformer en fibres et ses fibres de
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bois permettent de remplacer finalement 50% de l’atome dans dans les terreaux que nous fabriquons en france mais
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globalement 50 % de la tourbe chez tous les fabricants terreau du monde entier donc c’est c’est l’invention de cette
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nouvelle matière qui nous a permis de démarrer une croissance à l’étranger notamment au royaume-uni et en offrant
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nos savoir-faire bien sûr moyennant finances comment dire à des fabricants
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de terreau des collègues étrangers donc cesser la fille de loi est devenue finalement de un des piliers de notre
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développement et ça c’était en 2000 aujourd’hui c’est devenu un standard à l’échelle monde fis
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de bois et comment dire en 2015 nous avons inventé
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avec les mêmes équipements qui transforme donc ces déchets de scieries en fibres nous avons breveté à l’échelle
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monde un produit qui permet de remplacer l’autre 50% de la tourbe à savoir des
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fibres des corses de bois donc avec les mêmes équipements nous pouvons fabriquer deux deux produits complémentaires et
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cette fibre des corses de bois associé à la fille de bois remplace
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qualitativement et quantitativement quantitativement pardon 100% de la tourbe dans un terreau qui soit grand
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public ou professionnels pour l’horticulture la pépinière etc d’accord vous m’aviez parlé aussi un petit peu de
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la fibre de coco ces nouvelles voies que vous explorez tout à fait nous avons aujourd’hui trois
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sites dans le sud de l’inde au tamil nadu près de tuticorin qui alors c’est une matière localiser assez
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loin de notre petite france mais qui pour nous est essentiel pour finalement
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livrer notre usine notre usine de terreau qui se trouve dans la région de shanghai est donc la fille de coco
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finalement c’est une matière première pour l’asie les régions d’asie nous nous
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ne nous en apportant un petit peu en france mais comme nous avons la fibre
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des corses de bois qui qui coûte moins cher entre guillemets il est clair que la fille de coco peut être intéressante
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sur des terreaux alors très très pour se projeter vie de coco c’est une éponge quand vous mettez de l’eau ça gonfle et
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associés la fille de bois avec une petite enveloppe de courrier classique vous pouvez imaginer 4 litres de terreau
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dans une enveloppe de simple courrier donc vous imaginez que demain on pourra peut être supprimé le plastique pour
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pour notre héros grâce notamment à ses fils de coco et qui dit courrier dit
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internet et vous savez que la chine notamment pour nous représente un énorme potentiel si les chinois se mettent à jardiner
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avec nos produits là nous risquons d’avoir des volumes assez important oui d’ailleurs supérieur à ce que vous et
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couleurs et en france non c’est ce que vous aviez alors je vais enfin le marché chinois
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aujourd’hui ça représente à peu près en volume le marché européen des tout petits dans tout ça mais l’espoir
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grandit quand on sait que nous sommes la seule entreprise aujourd’hui occidental à avoir investi en chine pour fabriquer
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du terreau en chine avec des matières premières les plus local possible en fait donc vous avez souhait des
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substituts à la tour vous avez aussi travaillé à réduire les engrais chimiques oui on s’intéresse bien sûr à la culture
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la nourriture et la santé des plantes donc sur le chapitre nourriture des plantes la fertilisation classique basse
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et bien sûr une fertilisation issus de l’industrie chimique et donc quand vous
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avez en stratégie de développement durable le remplacement de la tour bien pour la
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famille des engrais s’est tout simplement remplacer les engrais chimiques par des anglais des engrais renouvelables alors deux origines deux
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axes de recherche et d’application on a deux usines en france 2 d’engrais organiques donc des composts de fumier
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tout simplement donc la matière première très locale et puis une r&d axée sur les
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engrais du futur à savoir ceux d’origine végétale on parle beaucoup des algues
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mais donc on valorise des déchets de l’industrie agroalimentaire qui
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utilisent des algues par exemple pour pour fabriquer des yaourts des choses comme ça donc nous demander un petit peu
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le dernier en euros du carrosse on s’intéresse à leurs déchets et puis voilà on pense pouvoir demain remplacer
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100% des engrais chimiques par des engrais d’origine soit animale soit
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végétale d’accord à quelle échéance que vous êtes james est déjà en cours ce genre est un peu il ya une appellation
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agriculture biologique que vous connaissez tous pour nous on est sur l’appellation utilisable en agriculture
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biologique donc là il faut en effet des engrais d’origine soient animales soient végétales pour pouvoir verser label
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d’accord et tout un travail aussi vous mardi pour donc réduire l’empreinte
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carbone de florentaise vous aviez fait un bilan carbone je pense il y a environ
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une dizaine d’années pour avoir un peu une photographie sur tf1 c’était en 2009 à l’époque rappelez-vous les grenelle de
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l’environnement imaginez une taxation des produits de la grande distribution est le terreau fait partie comment dire
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des produits qui sont vendus par la grande distribution donc pour anticiper cette future taxe carbone nous avions à l’époque j’étais
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au centre des jeunes dirigeants de nantes nous avions créé un petit groupe de travail pour calculer finalement nos
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émissions carbone et quand on a vu notre bilan bon il faut que le sommet de copenhague c’était là la coop 2015 de
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mémoire c’est grand échec entre obama et sarkozy pour pour que les états
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s’engagent à une réduction de 3% par an pendant dix ans de leurs émissions carbone bien nous on a eu notre bilan
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dans ce bilan 42 % nos émissions carbone c’était du transport et finalement quand j’ai présenté sa nos salariés en comité
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stratégique et nous ils m’ont dit mes côtés je suis pas on doit pouvoir essayer de réduire de 3% par an pendant
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dix ans aux émissions carbone donc c’était un défi au sein de nos
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établissements et finalement on est à plus de 3% par an depuis 10 ans maintenant et ça commence à se voir sur
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un compte d’exploitation alors on a fait comment peut-être oui c’est ça vous avez travaillé sur les transports à 21h afin quand vous avez 42
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% d’émissions carbone liées au transport voilà chose la plus simple c’est de réduire de
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trayons d’action dont on avait à l’époque trois usines en france on en a 10 aujourd’hui donc vous comprenez que notre rayon
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d’action de chaque usine a été divisé quasiment par trois et ça veut pas dire que les émissions de co2 transports sont
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passés de 42 / 3 malheureusement toutes les matières premières ne sont pas que local encore mais nous y travaillons et
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bon c’est en fait fait pas dans le spectaculaire on y va progressivement et le fait de
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mettre moins de tourbe le fait de comment dire d’utiliser des produits
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issus de déchets d’industrie donc ça nous permet au niveau de nos matières premières de aussi réduire sensiblement
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ses émissions carbone aux sacs plastiques on utilise de plus en plus de composants recyclés de plastique recyclé dans nos
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sacs on est aujourd’hui à 40 % de plastique recyclé mais on peut encore aller plus loin on peut imaginer se passer du
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plastique sur des terreaux sec entre guillemets donc tout ça voilà c’est une démarche qui qui se fait pas en 5
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minutes c’est beaucoup de r&d aussi et mais pour autant les résultats sont là
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donc c’est très encourageant tout à l’heure vous en parlait justement
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de ce deuxième défi qui étaient les jardins qui se réduisent et puis ce
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nouveau challenge sur lequel vous allez qui est la culture urbaine enfin comment réintroduire les les cultures dans la
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dans la ville je crois que vous avez menées ces dernières ces derniers temps ou derniers
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mois de nombreuses expérimentations dans ce sens que vous pouvez nous en parler oui l’agriculture urbaine c’est un terme
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un petit peu récent mais je pense que chacun imagine ce que ça peut être nous de défi c’est de faire passer le jardin
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potager de nos parents aux grands-parents de l’extérieur des maisons dans un milieu périphérique urbain au coeur des appartements alors
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pour faire pousser une plante dans un appartement vous avait pas beaucoup de place puis un problème majeur si vous n’avez
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pas de lumière vous n’avez pas suffisamment de lumière bien sûr si vous avez une terrasse plein sud etc c’est plus facile mais c’est bon
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voilà on va dire 25% des des habitats et tout ça pour dire que nous avons donc
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investi dans une technologie de l’aide qui en consommation électrique est très très faible 1 ramené ramené au mètre
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carré et sur 30 cm par 30 cm sur 3 niveaux vous pouvez dans un appartement
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c’est une petite étagère 1,30 par 30 vous pouvez imaginer produire autant
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qu’un jardin extérieur de 6 mètres carrés de surface je vous rappelle que même si vous n’êtes erasme toiture petit
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terrain au pied de l’autre immeuble un carré potager d’un mètre carré peut produire 30 à 35 kg de légumes par an
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donc toutes ces notions de jardinage urbain on les développe on va
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imed du service on va louer en fait des mini jardin avec ou sans l’aide en
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intérieur ou en extérieur et permettent aux citadins de redécouvrir parce qu’ils
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ont ça dans leurs gènes mais non peut-être plus l’usagé plus le savoir faire et la flore de redevenir
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jardiniers et si je peux rêver c’est bon deux tiers de la population mondiale réside aujourd’hui en d’agglomération
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d’autres marchés il est là 9% des citadins jardine 95% des ruraux jardine
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alors si on arrive à un chiffre qui se rapproche de 95% pour les citadins vous imaginez le développement c’est assez
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fantastique sur le papier est un vrai marché pour pour vous et vous m’avez parlé aussi verticalité jeu il me semble
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qu’il ya une tour même à sam l’art du désert vous vous faites des itinéraires de culture vous tester en fait on se
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rend compte de plus en plus que la production sur le sol devient compliqué
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les sols sont de plus en plus pollué les végétaux capte par leurs racines ces pollutions puis indirectement vous
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voulez manger sans le savoir pas encore de normes là dessus et l’idée c’est que bon nous sommes il fait 2 degrés le
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matin je jouais pas des saints des salades au tour de nantes ils vont alors du mal à pousser parce
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que par manque de soleil mais aussi par une température exagéré donc ce qu’on va manger ce midi dans nos assiettes ce sont des salades qui vient d’espagne
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l’espagne c’est quand même un petit peu loin surtout qu’on sait que c’est plutôt la région d’alméria donc grosso modo 1500 km donc notre idée c’est tout
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simplement d’envisager la culture de plantes dans nos sous sols urbains dans
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des parkings dans des zones peu coûteuse qui avec les led permettrait donc de
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nourrir je suis avant une partie de nos populations donc on a mis au point une technologie
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de culture vertical alors vous allez dire oui les lettres ça consomme de ça consomme du courant etc
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ah oui on reconstitue l’enseignement d’un 21 juin toute l’année et la nuit parce que la nuit on jette notre courant
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les centrales nucléaires les éoliennes tout leur courant il n’est pas stocké
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et part en fumée donc non l’utilisent à ce moment là donc clairement on peut
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envisager progressivement une culture au coeur des villes en circuit ultra court
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offrir des légumes à l’échelle d’un immeuble tout simplement l’échelle d’un quartier sans raisonner mega mega
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entreprises intensive à grand renfort de d’engrais chimiques et ces noms
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résonnent à des échelles ultra locale c’est pour nous le futur de l’agriculture urbaine d’accord donc vous
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avez donc travailler sur vos produits vous avez donc travail en r&d mais comme toujours un rse ça ne serait
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pas possible sans l’humain et je crois que justement à florentaise vous avez eu le voeu de de mobiliser toutes les
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énergies de les rassembler autour de finalement de ce projet d’entreprise à tout à fait ça ça a été mis en place dès
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2008 en fait notre stratégie d’entreprise on la conçoit tous les quatre ans avec un
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tiers de nos effectifs que j’invite pendant deux jours alors 2008 2012 2016 et bientôt janvier 2020 on fait on
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travaille avec bon aujourd’hui c’est une quarantaine de collaborateurs qui sont qui sont associées pour notre future
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stratégie 2020 2025 on refait notre vision d’entreprise notre vision aujourd’hui c’est innovons
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c’est le enfin ensemble innovants pour la culture la nourriture et la santé des plantes sur une terre plus verte à cette
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phrase c’est une trentaine de collaborateurs qui a 4 ans lomé au point derrière cette phrase il ya des mots
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clés et s’est moqué sont déclinés en fait en ambition et chaque ambitions par
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des ateliers créativité sont génère en fait des projets des idées et donc on
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formalise des plans d’action et bien sûr en sommes en chef de projet l’ensemble des participants à ces comités stratégiques
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donc quand les gens ont mis au point des actions etc ils sont chargés de les réaliser parce
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que vous assurer qu’une stratégie comment dire partagé par l’ensemble des salariés c’est une stratégie qui se
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kim qui fonctionne et qui marche donc 95% de nos objectifs est sérieusement d’un joli tifo on se rapproche du
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chômage de moquette la 95 % de nos objectifs sont néanmoins atteint à l’échelle 4 à 8 ans maximum
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c’est donc la croissance que vous connaissez actuellement le montre enfin notamment à l’international que cette
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capacité à fédérer les énergies à se renouveler donc porte ses fruits pourtant vous m’avez dit que celle ça
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n’avait pas été si simple finalement vous aviez quelques embûches un peu sur le sur le chemin où quelques freins
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levée est-ce que vous pouvez nous en parler un petit peu je crois qu’il ya eu d’abord des a priori peut-être sur les
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micro-organismes ah oui sur la santé des plantes on développe des bus aux stimulants il faut
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reconnaître que c’est ça peut faire peur incessant des petits champignons microscopiques et mais c’est passionnant
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puisque ça permet d’imaginer la la suppression des produits phytosanitaires ça renforce la santé des plantes et donc
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ça supprime peut-être la nécessité de produits traitement sur les produits phyto enfin dans le sens les produits
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désherbants pas d’où on a mis au point toute une gamme de paillage et enfin bref on essaie de trouver des parades
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naturel à des problèmes qui qui qui donne environnementale aujourd’hui tout
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simplement et puis je crois qu’il y avait un autre écueil aussi qu’ils étaient un peu curieusement ne pas être précurseur trop
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tôt finalement c’était pour le voulez parler du charbon c’est ça du charbon vert alors notamment peut-être pas que
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c’est à dire qu’aujourd’hui on est capable de neutraliser nos émissions carbone grâce à une technologie qu’on a mis au point
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la pyrolyse qui permet en fait les végétaux quand ils vivent grâce à la photosynthèse stockent du co2 à tout le
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monde le sait c’est facile à comprendre par contre une fois qu’ils sont morts parce qu’on va aller brûler c’est du
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bois soit on va les laisser se décomposer et donc schématiquement à l’échelle comment
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dire du cycle de vie du produit de la plante on considère qu’une plante un
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effet carbone neutre maintenant vous la chauffer 1 500 degrés vous récupérez 95% de son carbone
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qu’elle a stocké pendant toute sa vie ce carbone vous pouvez le remettre sur le sur la terre et là vous faites de
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l’évitement ans d’émissions carbone au passage vous générez un gaz qui lui même
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si les nettoyer peut devenir du biométhane est donc quelque part le
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végétal sauvera notre planète c’est clair et net c’est que le végétal c’est 18% des émissions carbone dans le
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monde végétal si vous stockez 95% de ses 18 % d’émissions de carbone pour le remettre
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au sol vous avez sauvé la planète c’est possible c’est techniquement possible mais il faut arrêter de brûler il faut
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pyrolyse et et on a depuis quatre ans des résultats de culture exceptionnelle en maraîchage à nantes et angers
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nous avons traité des parcelles il ya quatre ans une fois et depuis quatre ans
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ces parcelles ont un rendement de 15% de production en plus sans aucune sans
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aucun autre traitement la difficulté on sait pas pourquoi on cherche pour pouvoir profiter ces choses
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là mais et on avance donc il ya vraiment essaie de convaincre encore un petit peu le afin de convaincre le consommateur
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alors là où les étiquettes ou le distributeur quand nate robinson otero zéro carbone à la grande distribution
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française sap a été un énorme succès ou c’est pourquoi il n’y a pas de taxe carbone
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le jour où il ya une taxe carbone ça va très très gros succès c’est aussi bête que ça on fonctionne quelque part avec des
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motivations d’ordre financière aujourd’hui donc on est prêt donc rendez vous pour les produits zéro carbone vous
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les deux réalisé vos émissions carbone avec le charbon que je propose aux maraîchers je peux vous offrir du crédit
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carbone c’est difficile aujourd’hui de t’avoir des certifications à ce niveau là moi je peux le faire localement dans
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un rayon très court d’accord on aura peut-être des questions d’ailleurs tout à l’heure sur evans point fr ses 19
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je vous fais un petit rappel petite piqûre de rappel parmi les freins y avait aussi le
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l’aspect financier c’est à dire qu’il faut une solidité j’imagine financière pour pour investir et puis testé sur un
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sur des durées peut-être plus longue ça c’est le point fort des entreprises familiales moi je suis de mon entreprise
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familiale depuis l’âge de 22 ans je me suis jamais distribué de dividende de magie j’ai tout réinvesti à chaque
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fois je partais avec 1 euros dans la poche et voilà donc c’est une question de principe
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l’argent certes il en faut mais suffisamment et nous on est sur des
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sujets tellement passionnant que le le fait de réinvestir ce que l’on gagne à 100% dans nos projets nouveaux ça nous
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permet d’aller plus vite tout simplement et de fonctionner on va dire avec un capital 100% familiales et pour vous
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alors finalement tous et bon il ya quand même des notions de prise de risque d’efforts pour vous ça valait le coup
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quand même de s’engager dans cette démarche c’est en allant aux états unis que j’ai
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appris ce mot de stratégie pour sauver le monde c’est très prétentieux mais entendu on
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n’est plus dans la goutte de colibri un pur pour éteindre le feu mais mais quelque part oui ggg c’est extrêmement
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motivant de savoir que notre gut peut compter aussi et peut être utile pour
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tout le monde finalement et qu’est ce que ça vous a apporté voit donc à florentaise m’a parlé de
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d’environ n’ouvre les deux sens un c’est extrêmement motivant pour les jeunes on a beaucoup de jeunes dans l’entreprise qui peut être nous choisissent parce que
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justement il ya un futur il ya une volonté de d’aller de l’avant au niveau de ses axes de la rse et même
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si c’est pas on n’est pas des on n’est pas des anges on n’est pas totalement parfait bien entendu c’est
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pas simple mais quelque part on a quand même des sujets qui qui sont extrêmement
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motivant si on arrive à aller au bout finalement d’accord même pour wii pour votre marque employeur pour l’identité
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de l’entreprise et c’est important ce genre de démarche aussi alors j’ai bon
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je suppose qu’il y aura de nombreuses questions donc je vais je vais me tourner vers notre expert alors vous
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venez donc d’écouter le récit de jean pascal je suis pas si brillant chine
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adhère est-ce que vous pouvez nous donner un petit peu votre votre décryptage si vous aviez en fait à à
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retenir deux notions pour vos clés dans le parcours de florentaise quels seraient ces notions oui alors bonjour à
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tous merci magali de donner la parole alors deux idées là la première qui transpire évidemment c’est celle de de
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la résilience et une deuxième idée la raison d’être alors peut-être sur la résilience d’abord bon c’était écrit en titre de
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l’atelier vous l’avez très bien expliqué vous l’avez dit façon tout à fait explicite il s agit pour la florentaise
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de se réinventer pour survivre alors tu vas y aura plusieurs choses vous l’avais dit la fermeture de votre première
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activité d’extraction de sable dans la loire la fermeture ensuite de la
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tourbière de saint-mars-du-désert quand il ya eu la prise de conscience le caractère non durable du grade de la principale matière première de
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l’entreprise et survivre aussi à quelque chose quand même d’assez les restructurant la prise de conscience du
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caractère fini du principal marché sur lequel l’entreprise s’était développé celui de la jardinerie donc ce qui est intéressant pour nous ce matin c’est
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peut-être essayer de comprendre qu’elles ont été quelles sont les conditions qui ont permis cette faculté de résilience
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alors j’en identifie trois vous n’avez citer quelques-unes ya certainement
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d’abord est très probablement la vision stratégique prospective et l’engagement l’entreprise la conviction que dans la
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durée produire des substrats à partir d’une matière non renouvelables ne sera pas soutenable
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ensuite et la ja il ya quand même quelque chose d’hyper intéressant c’est la construction d’une culture d’entreprise résolument tourné vers
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l’innovation eva la neutralité carbone et enfin un point que vous avez cité monsieur je suppose c’est la vision de long terme
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inhérentes à l’entreprise familiale qu’il permettrait en tout cas c’est votre cas de favoriser la location des
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ressources de l’entreprise à l’effort de r&d plutôt qu’à la rémunération du capital et cette dernière condition de
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la résilience elle nous pose une question qui est intéressante est ce que le fait d’une
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entreprise familiale garantit la performance voire la sur performance dans la durée alors selon comment on va
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répondre à cette question les plus ou moins la réponse est plus ou moins directe ou plus ou moins évidente si on prend la liste des entreprises c’est
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moins sûr social cherche depuis deux ans on sera tenté de répondre oui l’entreprise familiale et la garantie la
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surperformance dans le temps la réponse être quand même peut-être pas aussi évidente évidemment l’entreprise familiale elle a des avantages qui sont
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indéniables elle a sa perspective de long terme qui provient elle même en fait de la logique de transmission du
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capital familial qui est l’outil de travail qui est à l’oeuvre tous les jours dans l’entreprise familiale ça c’est peut-être le premier élément de
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l’entreprise familiale le deuxième c’est l’impératif pour le dirigeant d’entreprise familiale peut
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être que monsieur j’ai peur pour nous en parler de conjuguer à tout moment la notoriété de son entreprise et la
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réputation de sa famille s’y est un élément quand même très différent d’une entreprise qui est pas familier allemand contrôlé et le troisième la troisième
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condition dans une troisième élément 3d m’avantage dans une certaine mesure à rocourt moindre à l’endettement des
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entreprises familiales que d’autres typologie d’entreprise qui exposerait – qui rendrait moins fragile les entreprises familiales en période de
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retournement de l’économie alors c’est pas suffisant pour que ces avantages l’entreprise familiale soit
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opérant il ya certainement des conditions à remplir qui font que c’est quand même plus compliqué que ça
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la première condition c’est celle d’une gouvernance ouverte pour éviter que le contrôle simultané du capital et de la
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gouvernance par la famille empêche toute réflexion sur le dessus sur le futur et
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empêche donc de survivre de se poser les bonnes questions pour survivre voire bloquent les capacités d’innovation au
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quotidien et la deuxième condition c’est de se préoccuper de la transmission
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familiale et de s’en préoccuper suffisamment en amont et sur ces deux conditions la florentaise nous fournit
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un bel exemple à la fois de gouvernance ouverte sur ses parties prenantes quel exemple quatre sites est monsieur g parlement très bien et également d’une
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transmission ça vous n’avez pas parlé mais d’une je me permets du coup de le dire ce que je crois que vous l’avez déjà dit en public
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l’exécution d’une transmission largement de l’anticipation puisque les enfants de monsieur su
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pinson sont déjà engagées dans l’entreprise et à son capital s’était
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blessé peut-être parce que je me permets parce que je sais que les questions et vannes vont remonter
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oui vous vouliez dire aux siens peut-être un dernier mot sur cet aspect de d’entreprises sociales mission oui
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alors est ce que j’ai encore une minute sur les faits une minute sur la raison
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d’être du coup vous avez dit monsieur je suis pas un vous avez cité la phrase en fait qui résume le plan stratégique 15
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2020 de la florentaise ensemble innovons pour développer nourrir et protéger les
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plantes pour une terre plus verte fera super intéressante parce qu’elle dit beaucoup de choses elle dit ce que vous faites des produits pour protéger les
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plantes elle dit comment vous le faites l’innovation le management est inclusif et lee pourquoi vous le faites c’est peut-être le plus important pour une
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terre plus verte est donc cette phrase dans l’absolu elle pourrait être la raison d’être de l’entreprise la
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florentaise la raison d’être alors l’idée c’est à dire quelques mots sur ceux ci trente secondes 30 secondes
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sur le sur quelques éléments de contexte sur cette raison d’être qui qui qui est une idée qui est pas totalement neuve
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qui vient de loin dans les années 70 aux états unis mais qui a pris un nouvel essor avec le rapport note un sonar en
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france en 2018 et la loi pacte en 2019 l’idée de la raison d’être c’est
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d’embarquer l’ensemble des valeurs fondamentales de l’entreprise de les placer celles qui ont trait à son
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engagement social à son engagement sociétal à son engagement environnemental de les placer au coeur de la stratégie d’entreprise d’embarquer
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la gouvernance pour les monitorer de façon régulière et surtout et c’est là l’évolution légal importante de les
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faire inscrire de la sphère inscrivent dans l’es7 une entreprise c’est d’évolution importante parce que
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elle va agir en sanctuaire de l’inscription d’un statut va permettre de sanctuariser l’engagement de
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l’entreprise dans la durée et dans le temps et aujourd’hui et donc elle va
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elle va voir pour les entreprises qui choisiront c’est une entreprise émission elle va pas elle va permettre de créer
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les conditions juridiques de l’opposabilité de la raison d’être aux parties prenantes et aux tiers là où
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l’engagement rse telle qu’on connaît aujourd’hui n’a pas de réalité juridique aussi objectives et donc plusieurs
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intérêts pour les entreprises derrière celles qui vont doter d’une raison d’être vous l’avez cité ya la marque employeur en favorisant la cohérence entre la
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communication un message de l’entreprise et ses pratiques effectives au quotidien c’est un premier élément mais y’at-il un
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vecteur de différenciation commerciale dans un moment où les citoyens et consommateurs que nous sommes tous sommes de plus en plus vigilants aux
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seules machines au greenwashing est un élément qui est qui et qui a pu ce trait
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au capital qui est important la raison d’être inscrite dans les statuts va être une protection possible de l’engagement
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de l’entreprise dans la durée est particulièrement moment où son capital va évoluer et ce point là il est vrai
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aussi bien pour des grandes entreprises éventuellement cotée en bourse dont le capital est diluée et qui sont donc plus sujettes à des prises de participation
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non sollicitée mais c’est vrai aussi et c’est peut-être plus important pour notre quotidien nous sur notre territoire c’est vrai aussi pour les pme
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et eti familiale dont capital et donc contrôler mais qui vont avoir à vivre un moment de transmission dans leur vie
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d’accord d’où l’intérêt croissant pour ce statut ils se servent actuellement voilà c’est
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un succès du coup à ces mêmes parce qu’en étant intéressant et qui étaient
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explorées dans les entreprises oui je crois que ça sera des thèmes que social chaîne j’aimerais explorer dans l’est
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dans les années même déjà dès aujourd’hui ce sera je pense qu’on arrive au moment des questions que la
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salle attendait est-ce qu’on peut m’envoyer oui voilà les premières questions alors je vais vous demander monsieur je
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suis pas alors il nous reste je n’ose pas vous le dire mais il nous reste une dizaine de minutes
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donc la question quelles ont été les réactions des collaborateurs aux changements stratégiques récurrents
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comment changer les mentalités pour les impliquer dans ces changements et leur montrer qu’il est positif est nécessaire
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donc c’est l’adhésion quoi de vos équipes la base c’est de faire rêver la suite du
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sujet de l’entreprise a mission finalement notre vision d’entreprise partagé chacun il ya participé et moi je
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ne suis qu’un animateur dans ces comités stratégiques je ne suis pas du tout celui qui amène les idées et à partir du moment les
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idées tout le monde voit qu’elles viennent de tout le monde eh bien je dirais que les gens par le
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rêve dans ce travail de deux jours on demande alors bon là on est on était
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trois sous-groupes mais de faire un article de journal se transformer en journaliste pour écrire là nous sommes
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nous sommes dans cinq ans les grands les grandes ambitions qu’on a mis ensemble
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sur le papier par des séances de créativité se sont réalisés bien fait un
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article sur voix sur cinq ans après c’est réussi et c’est à partir du moment
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où vous écrivez que les choses se sont faites même si c’est dans un exercice de style
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et bien mentalement considéré que c’est possible et c’est magique c’est vraiment
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magique ça c’est un exercice facile à faire avec vos collaborateurs et et ça
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marche ça marche et tous les quatre ans on refait l’article de journal et enfin je me rappelle en 2016 une des
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équipes nous avait projeté sur la lune avec nous faire verticale pour végétaliser comment dire se nourrir de
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ce marché encore c’est pas du rêve puisque j’ai cru comprendre que les missions apollo et ses saillies avaient
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leur petite ferme végétales pour pour faire leurs salades dans l’espace oui c’est possible d’accord donc vous embarquez vos équipes
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autour d’un même un même rêve partagé chien alors deuxième question du turn
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over dans l’effectif de florentaise oui on a du turnover comme tout le monde peut-être moins tout le monde
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schématiquement le 1d comment diront nos usines sont dans des périphéries on va
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dire plutôt dans des zones rurales c’est notre force donc j’avoue que la
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promotion interne chez nous est très très importante et donc le fait d’avoir
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une perspective de carrière dans l’entreprise fait que les gens ont
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tendance à nous croire là dessus et des films en reste mais on a quand même du tourneur vous avez aussi des problématiques de
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recrutement comme rencontre sans trop bien évident mais quelque part le
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comment dire les nouvelles générations ont tendance quand même à adhérer
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enfin si ya pas de projet il n’y a pas d’adhésion et ses 500 se sait c’est le projet qui compte c’est la fameuse
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notion de mission et ses reins et et comme chez nous ça fonctionne déjà depuis maintenant 10 ans les gens ont
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tendance à croire vraiment d’accord donc il faut se re amer et salé les fidélise
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malgré tout les noms directeur général c’est un ancien technico commercial qui est passé par différents services bon
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directeur industriel c’est un ancien manutentionnaire sur shah élévateur qui est passé chez des équipes directeur
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d’usiné etc on a plein de belles histoires de promotion entreprise et je
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serais tenté de dire que les gens rient eu pas mal de gens qui partent en retraite sont là depuis 20 ans connu
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qu’un seul employeur quoi qu’un million alors la salle vous interroge aussi sur va justement les fractions de la tourner
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que vous avez donc réduite et l’écologie est-ce que les deux sont compatible eh ben non c’est pas
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compatible les les tourbières c’est des zones humides les zones humides c’est
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des lieux de biodiversité exceptionnelle 50 % de la biodiversité mondiale se
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trouvent dans les zones humides et les tourbières c’est c’est 3 % de notre
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territoire mondial donc c’est tout petit cette appli carbone 1 qu’est ce que c’est que la tourbe la taupe c’est un compostage en
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fait de matière végétale sur plusieurs milliers d’années vous laissez passer cent cinquante mille
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années ça s’appelle du charbon laissez passer 150 millions d’années ça s’appelle du pétrole mais à la base
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c’est du végétal donc clairement exploiter les tours brc détruire les zones humides ces déçus et la
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biodiversité etc j’en suis convaincu je je je suis complice dans la mesure où quand je suis
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devenu tourbier c’était pour avoir accès au sous sol au sable qui avait deux sous mais ma fierté quelque part c’est
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d’avoir mis au point et d’être le seul en europe aujourd’hui à proposer des terreaux écolabel c’est à dire des
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terreaux sans tourner mais les taureaux son tour cessé 10% du marché français c’est pas grand chose
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nous on a encore lusage de 30% tour dans nos dans nos produits c’est tout elles
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viennent maintenant des pays baltes essentiellement de l’estonie par bateau donc à faible coût carbone entre
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guillemets de transport avant thouars où nous avons une petite société qui s’appelle retourne et qui qui distribue
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en fait en france des tourbes d’origine estonienne berne déplace le problème c’est pas une solution en soi
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on va peut-être prendre une autre on est un petit peu de temps encore ah oui on a une autre question qui arrive vous avez
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réduit le post carbone déplacements via l’installation de nouvelles usines ne s’agit-il pas seulement d’un
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déplacement des émissions vers le poste immobilisations une question un peu plus comptable le poids le poids des usines
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dans notre bilan carbone c’est moins de 10% donc c’est vrai quand vous imaginez de baisser de 3% par an
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vous allez sur débat vous allez sur les plus gros postes donc chez nous c’était le transport les matières premières les
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engrais chimiques c’était du consommable nos sacs plastiques c’est ça les gros postes bien entendu nos immobilisations ont des
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incidences mais les sept usines que nous avons comment dire on est passé de 3 18
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en france dans les sept usines que nous avons repris sont pas des constructions
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on achetait des bâtiments existants donc quelque part l’incidence est moins
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importante alors on serait bien rester encore très longtemps je pensais avec
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vous monsieur je suis pas sûr sur scène à parler de florentaise donc on m’a dit
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qu’on va devoir quand même libéré la salle et que les questions peuvent être posées en salle i
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c’est à dire les personnes qui souhaitent continuer à dialoguer avec vous peuvent vous retrouver en salle i
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pardon pendant 20 minutes on vous voyez d’où l’intérêt de quitter les locaux
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vous allez avoir 20 minutes en tête à tête avec monsieur je suis pas voilà il me reste à vous remercier et a remercié
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aussi tous nos partenaires de social challenge qui contribue donc à cette journée très très active en faveur de la
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rse merci [Musique] [Applaudissements]
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[Musique]